« Comment se fait-il que vous, vous ne vous soyez pas rendu compte en rentrant dans cet appartement que le fait de louer un appartement qui valait 10 fois le SMIC par mois était quelque chose qui était inacceptable ? »
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L'affaire DSK n'en finit pas de choquer. Après l'arrestation, la retransmission de la comparution, le non-respect de la présomption d'innocence, c'est désormais le montant du loyer new-yorkais qui offusque. La gauche, mal à l'aise tente de se justifier, à l'image de Benoît Hamon sur France Inter. Alors qu'y a-t-il de choquant à être socialiste et à avoir de l'argent? Le blogueur Variae fournit une réponse
Peut-on comparer les affaires Tron et DSK ?
Accusé par deux ex-employées municipales d'agression sexuelle et de viol, Georges Tron subit-il le même traitement que Dominique Strauss-Kahn?
Quand deux affaires de moeurs sont révélées au grand jour en si peu de temps, tout incite à la comparaison. Pourtant Georges Tron est loin d'avoir subi le même traitement politique, médiatique et judiciaire que l'ex-patron du Fonds monétaire international.
Du secours zélé à l'abandon politique
Lorsque l'affaire DSK a éclaté, les socialistes se sont relayés dans les médias pour défendre de manière très offensive la "présomption d'innocence" de l'ex-patron du FMI.
Deux semaines après ce séisme, Georges Tron n'a pas bénéficié du même soutien au sein de sa famille politique. Conséquence du fait que l'un était patron du FMI et candidat favori à la présidentielle et l'autre un secrétaire d'état méconnu aux fidélités sucessives.
L'ex-secrétaire d'état à la Fonction publique a été défendu du bout des lèvres quand il ne fut pas vivement exhorter à présenter sa démission,, notamment par Jean-Claude Gaudin et Alain Juppé.
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