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lundi 31 janvier 2011

Le Godwin point inversé

"Nous en avons marre de ces mises en scène”, 
Bon je suis de nouveau d'accord avec BDW n'en déplaise à @marcelsel


@ParlerLibre À force d'être d'accord avec BDW, un jour, tu devras changer ton pseudo en VrijSpreken si toutefois le mot "vrij" est permis :)

ParlerLibre 
@marcelsel Heeft 'm ook gezegd dat je in B of in W NL moest spreken? Als ik in VL ga, spreek ik VL, in US, Engels, in IT, IT 
 


@ParlerLibre Et vous parlez russe en Russie, arabe en Tunisie et Mauricien à Maurice, comme moi ? #HorsSujetCommeToujours cc @stephrumm

ParlerLibre
@marcelsel #mauvaisefoi comme toujours ou #paranoia comme toujours?


  said:
Quand on choisit comme pseudo 'parler libre' on essaye de ne pas rentrer dans les mêmes monomaniaqueries que ses petits amis, et surtout de ne pas "décider" et répandre l'idée, à plusieurs, que celui qui ne pense pas comme vous est forcément un paranoïaque et un monomaniaque, deux maladies mentales. Les insinuations inlassables et systematiques de toi et ton petit groupe est une méthode qui fut très appréciée par les Staliniens, par exemple. S'appeler parler libre et jouer ce genre de jeu donne toute la mesure du type de liberté que vous défendez, à savoir la votre, exclusivement. Bon vent.

On Monday 31st January 2011, said:
(cc ) Je réponds à tes nouvelles accusations (de feindre et d'insulter) par un twitlong, c'est plus correct pour les suiveurs. Tout d'abord, je ne me souviens pas t'avoir jamais insultée, ou alors, j'étais très en colère.
Je note que tu écris "Twitter reste ouvert à tes joutes, tes feintes, tes sorties, tes insultes". Merci de m'autoriser à continuer à twitter, c'est très aimable.
Tu m'écris aussi "que je ne te serve plus le café dans mon salon — ma TL", ce qui m'informe donc que ta TL n'est pas un lieu ouvert, mais un lieu réservé. J'éviterai donc de te mettre en copie lorsque je te cite, je comprends que mon opinion t'es pénible. Rassure-toi, je n'utiliserai pas la technique qui t'est devenue habituelle (ainsi qu'à quelques autres), celle d'insinuer sans me citer, et sans me mettre en copie, par exemple en retweetant Alain Gerlache (dont je ne connais pas les intentions quant à ce tweet) : "le plus chiant sur twitter, c'est que c'est aussi l'outil idéal pour les monomaniaques qui n'ont rien à y faire". Comme tu m'as ensuite qualifié plusieurs fois de "monomaniaque", j'ose supposer que j'étais au moins l'une des personnes visées. Mais bien sûr, comme vous faites dans l'anonyme, ça va te permettre d'encore me traiter de parano. Bravo, belle technique.
Moi, je ne te ferai pas subir ce genre de choses, je ne suis pas capable de ça, je préfère que les gens que j'attaque en soient dûment informés afin qu'ils puissent se défendre. Je n'y peux rien si tu pètes les plombs dès que je m'oppose à certaines de tes idées. Oui, j'attaque en direct. C'est pour ça que, fatigué des insinuations de ton très proche twittos ("[Marcel Sel] vend ses bouquins dans les hospices et clubs du 3e âge. C'est commercial ;-)" ; "Twitter a ses paranoïaques qui promènent leurs tics et leurs idées fixes comme d'autres sortent leur chien" ; puis, comme je lui demandais d'avoir le courage de me cibler ouvertement : "Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms. (Pierre Doris)" j'en ai eu par-dessus la tête de ce genre de sous-entendus et de cette hypocrisie de jésuite donneur-de-leçons-en-douce. J'ai donc écrit à Charles que j'étais plus couillu que tolérant, et lui ai dit, de face, publiquement, asséné qu'il était un grand, un immense con. C'est là je crois la seule insulte que j'aie proféré à la Bricman Generation dont tu sembles être devenue la passionaria. Enfin, si j'ai quelquefois interprété tes tweets, tu ne l'as pas moins fait des miens, par exemple en faisant mine de comprendre, parce que je critiquais votre penchant de tout mettre sur le dos de la particratie, que je trouvais celle-ci formidable (ce qui n'est pas le cas), ou encore, après un tweet où je te disais (après que tu eus qualifié Quatremer de degré zéro du journalisme) : "gratifier un journaliste français de 1er plan de "degré zéro", c'est quand même un peu viser le journalisme français. #jetrouve", tu me répondais brutalement "ça suffit: tu provoques pour te faire mousser, et tu es de la derniere malhonneteté intellectuelle." Là, ce n'est même plus de l'interprétation, c'est carrément du procès d'intention. mais bon, c'est toi qui vois.
Rassure-toi donc, je ne vais pas te viser comme tu le fais généralement à mon égard, à savoir suffisamment subtilement pour pouvoir me qualifier ensuite de paranoïaque, mais pas trop non plus, pour que ton auditoire bricmanien puisse rire sous cape. Rassure-toi encore, je ne mettrai pas en parlant de toi de hashtag #monomaniaque #parano #penséeunique #troll ou encore #trollémiste (Barnum) ou #mauvaisefoi (on peut établir le cercle paminien de twittos rien qu'en regardant qui m'a un jour accusé de "mauvais foi" ; ça doit voler bas en DM ou en RL !) et ne parlerai pas de manipulation. Contrairement à toi, je ne suis pas psychanalyste twitteridien de vocation, et j'ai gardé à l'esprit qu'attribuer à son opposant une maladie psychiatrique afin de le décrédibiliser était une technique très prisée dans l'URSS de Staline ou la Chine de Mao. Je l'évite donc à tout prix. Mais bon, là encore, c'est toi qui vois.

Tout ceci, avec copie aux éventuels intéressés (je répète qu'en ce qui concerne Alain Gerlache, je ne suis pas du tout sûr qu'il parlait de moi et je ne le met en copie que du fait de ton RT, qui est arrivé à un moment dans la TL où il s'agissait assez clairement de moi) afin qu'ils puissent se défendre, nuancer, répondre. Tout en te priant de transmettre à ton entourage qu'il serait bon qu'ils cessent de me prendre pour cible de leur marcèlement textuel (Bricman ayant lancé les hostilités il y a quelques mois en me traitant de "francophonissime déjanté" alors que je ne lui avais absolument rien fait). Cela dit, ne t'inquiètes pas, je ne réagirai plus aux attaques que ton petit groupe mènerait encore sans me citer, en sous-sol, car je me vois plutôt jouet en ut. Et je terminerai sur cette note fondamentale, car, l'ignorais-tu, Sel a l'ut final.

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Décryptage: la nov’langue de la politique belge

Durant le travail de Vande Lanotte, c’était motus et bouche cousue.
Après 290 jours (un truc du genre, en comptant élections+négos), je pense mieux connaitre le système politique belge que celui de mon propre pays. Et surtout, ses politiciens et leurs discours.
Alors, voici, cher lecteur, un dictionnaire pour traduire le sens caché « du belge de crise« .
« Nous étions sur le point de trouver un accord » = « Dommage que les négociations soient rompues, on rigolait bien, l’ambiance était bonne ».
« On ne peut pas attribuer l’échec à quelqu’un ou à un parti » = « ce n’est PAS de MA faute. C’est de la faute de L’AUTRE ».

Autisme, quand tu nous tiens ...

Phineas_Barnum "vainqueur des élections du 13 juin" : concept devenu autistique #NeverGov

«On ne peut plus attendre. Les citoyens sont en droit d'avoir un gouvernement qui prenne des mesures de soutien à l'emploi, de relance de l'économie, de réforme de notre système de pensions» 


Un comble pour un homme qui s'est entêté dans le suicide plénier par asphyxie d'un pays ...


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De Wever: "Pas de réforme sans toucher à la Sécu"

 
"Dire qu’on peut réformer l’Etat sans toucher à la Sécu, c’est dire qu’on ne peut pas réformer du tout".
Bart De Wever constate l’impasse et attend ce que vont donner les consultations royales. Il revient sur les événements des dernières semaines pour "La Libre".
Qui est responsable de l’échec de Vande Lanotte ?
On ne doit pas attribuer l’échec à quelqu’un ou à un parti, mais plutôt à la situation. On a eu l’opinion des électeurs en juin et on a probablement sous-estimé la difficulté. Le PS est le plus grand parti chez vous. Il a le droit d’avoir ses idées. Qui suis-je pour juger le PS et ses électeurs, mais la N-VA est tout à fait le contraire du PS dans chaque matière. Certes, nous n’avons pas de majorité absolue, mais même le reste de l’opinion publique est différent. Ecolo et CDH sont proches du PS et sur l’institutionnel, le CD&V et le VLD sont plutôt proches de nous. Je ne parle même pas du Vlaams Belang et de la liste Dedecker qui sont encore plus radicaux. Quand on juxtapose tout cela, on voit bien qu’on a un grand problème. Deux démocraties dans un pays c’est unique au monde. L’autonomie est une solution pour ce problème. Après sept mois on est devant les partis francophones qui disent qu’ils réalisent qu’on est différent, mais qui ne veulent pas de réforme de l’Etat en profondeur. Si on veut une gestion socio-économique de gauche, qu’on le fasse en Wallonie, mais qu’on ne nous impose pas de faire la même chose en Flandre.
Certains reprochent à Di Rupo un manque d’implication. C’est votre sentiment ?
On était plutôt optimiste quand on a commencé le triumvirat. Je ne dis pas que Elio était d’accord sur le "less is more", mais il était ouvert. Le climat s’est rapidement dégradé. C’est vrai qu’on n’aurait jamais dû parler publiquement de l’Onem. Mais il y a un autre problème : le CDH et Ecolo n’étaient plus mentalement dans le jeu. Elio n’a pas eu l’opportunité de chercher des ouvertures car ça a pété partout. La deuxième semaine, on a été paralysé par la manifestation, c’est un paradoxe. Côté flamand j’ai directement senti que ce n’était pas grand-chose mais, du côté francophone, c’était l’inverse. Il y avait une nervosité. On espérait une accélération après dimanche, mais la manif, c’était la fin de tout. La vérité, c’est qu’Elio Di Rupo a vite remarqué que ça ne marcherait pas côté francophone. Il a perdu espoir.
Vous avez dit un jour que celui qui voulait devenir Premier ministre devait trahir sa communauté.
Je pense que les francophones ont perdu l’habitude d’avoir un Premier ministre. Le Premier ministre doit s’intégrer dans le système, devenir le Premier ministre de tous les Belges. Pour Leterme, ça a été très dur. Maintenant, le Flamand, c’est moi, mais je ne veux pas le "16", je ne veux pas être comme Verhofstadt ou Leterme. J’ai dit aux francophones qu’ils pouvaient avoir le "16" si cela aidait à provoquer le changement.
Ça n’a pas marché…
Non, mais c’est un peu bas de dire que c’est la faute à M. Di Rupo. C’est un mensonge.
La confiance entre vous est encore possible, selon vous ?
Je ne sais pas où il veut aller maintenant. Il faut que je lui parle. Mais ma première impression n’est pas bonne. Un gouvernement avec tout le monde, je ne sais pas si c’est le but.
Avec Vande Lanotte, on avançait sur la loi de financement, non ?
On n’a pas d’accord. Mais le mérite de Vande Lanotte, c’est qu’il a trouvé une mécanique pour l’autonomie fiscale des Régions. Mais ce n’est qu’une partie de la loi de financement. Avec le "less is more", tout le monde y gagnait. Mais commencer une négociation sans être sûr d’aboutir, ce n’est pas utile, surtout après six mois. C’est d’ailleurs pour cela qu’on avait refusé la note.