Rien de moins ... et beaucoup plus ....
La Grèce a réussi jeudi dernier son échange d'obligations qui lui a permis de réduire sa dette et d'éviter le défaut de paiement.Nicolas Sarkozy, en marge d'un déplacement électoral à Nice:
"Le problème de la crise grecque est "réglé" et "la page de la crise financière et en train de se tourner"Et de conclure :
"Je veux dire combien aujourd'hui je suis heureux de trouver une solution à la crise grecque qui empoisonne la situation économique et financière de l'Europe et du monde depuis des mois"
"Avec Angela Merkel, nous avons travaillé jour et nuit pour trouver cette solution"
"Aujourd'hui le problème est réglé, je veux dire aux Français que tous ces efforts ont été couronnés de succès, que la page de la crise financière est en train de se tourner"
"Nous pouvons nous attaquer aujourd'hui à la crise économique"
Lu sur Wikipedia:
"Suite à la ratification du traité de Maastricht l'euro deviendra la monnaie de la France"
Lire aussi:
Déblocage de 35,5 miliards d'€ d'aide vendredi ...
Les ministres des Finances de la zone euro ont débloqué vendredi les fonds pour la Grèce qui concernent directement l'effacement partiel de la dette de celle-ci, soit 35,5 milliards d'euros, et le reste suivra la semaine prochaine, a expliqué l'Allemand Wolfgang Schäuble. Il s'exprimait lors d'un point de de presse à Berlin, juste après une conférence téléphonique de l'Eurogroupe qui a pris acte du succès de l'opération d'échange de dette initiée par Athènes. Celui-ci était une condition au déblocage d'un deuxième paquet d'aide pour la Grèce, d'un volume total de 130 milliards d'euros.
Toutefois seule la partie concernant directement l'échange de dette, c'est-à-dire un paquet de 35,5 milliards destiné essentiellement à aider les banques à fournir des garanties à la Banque centrale européenne (BCE), a été débloquée vendredi. Les banques de la zone euro ne pouvant plus utiliser leurs obligations grecques comme garanties (ou "collatéraux") lors des opérations de prêt de la BCE, les dirigeants européens leur avaient promis une compensation financière pour faire passer la pilule.
Le reste du paquet, 94,5 milliards d'euros essentiellement de prêts à Athènes, sera débloqué vraisemblablement la semaine prochaine, a dit M. Schäuble, quand "les conditions formelles" seront remplies, mais cette étape ne fait aucun doute.
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