Daarmee zou het Europees noodfonds voor zwakke eurolanden in één klap leeg zijn.
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Indignés: le directeur de HUB révolté des dégradations
La peinture doit être refaite dans tous les locaux et les travaux de nettoyage dureront plusieurs semaines. La HUB veut vendre le bâtiment à une autre institution d'enseignement supérieur.
Le directeur général de la HUB (Hogeschool-Universiteit Brussel), Dirk De Ceulaer, s'est offusqué mardi du "tsunami de dégradations" provoqué dans le bâtiment de la HUB de Koekelberg, où ont séjourné durant près d'une semaine les "indignés". "Cela ne correspond pas aux valeurs pour lesquelles les jeunes sont descendus dans la rue. Ces dégradations sont un manque de respect total", a-t-il indiqué mardi en faisant la visite du bâtiment. Du sol au plafond, presque tous les couloirs et locaux ont été taggés et saccagés. La bibliothèque du premier étage notamment a été mise sans dessus dessous. L'expertise de la compagnie d'assurance doit encore déterminer le montant des dommages.
La direction de la HUB avait donné son accord à la commune de Koekelberg pour loger les "indignés" qui avaient investi le parc Elisabeth. "Je ne pense pas qu'il y ait grand chose à reprocher à la commune de Koekelberg. Beaucoup plus de jeunes ont investi le bâtiment qu'initialement prévu", a poursuivi M. De Ceulaer.
Le directeur général a encore eu plusieurs contacts avec les "indignés". Selon ces derniers, des personnes étrangères au mouvement auraient également pénétré les lieux. Les "indignés" auraient toutefois pu indiquer à la police que la situation n'était plus sous contrôle, estime le directeur.
Les "indignés" déménagent vers Evere
Tous les "indignés" qui occupaient le parc du Cinquantenaire depuis samedi ont plié bagage mardi après-midi. Vers 13h00, toutes les tentes ont été démontées. "Nous n'avons pas dû recourir à la force. L'évacuation s'est déroulée en concertation", explique une porte-parole de la zone de police Bruxelles-Capitale/Ixelles.
Le groupe d'"indignés" s'installera finalement sur l'espace de la plaine de jeux, située au stade Georges Pêtre, rue De Lombaerde à Evere. La délégation d'"indignés" qui s'était rendue au stade communal mardi matin n'était, dans un premier temps, pas enthousiaste à l'idée d'y installer un nouveau campement. "Ils ont depuis lors changé d'avis", indique le porte-parole de la police de la zone Bruxelles-Nord. "Près de 45 'indignés' sont arrivés au stade Georges Pêtre. Ils ont reçu l'autorisation d'y loger et d'utiliser les commodités sanitaires."
Le bourgmestre de la commune de Saint-Josse-ten-Noode, Jean Demannez, les a autorisés à occuper ce lieu jusqu'à vendredi. "Le service de prévention de la commune sera sur place pour les accompagner dans les meilleures conditions", indique le bourgmestre de Saint-Josse dans un communiqué.
La direction de la HUB avait donné son accord à la commune de Koekelberg pour loger les "indignés" qui avaient investi le parc Elisabeth. "Je ne pense pas qu'il y ait grand chose à reprocher à la commune de Koekelberg. Beaucoup plus de jeunes ont investi le bâtiment qu'initialement prévu", a poursuivi M. De Ceulaer.
Le directeur général a encore eu plusieurs contacts avec les "indignés". Selon ces derniers, des personnes étrangères au mouvement auraient également pénétré les lieux. Les "indignés" auraient toutefois pu indiquer à la police que la situation n'était plus sous contrôle, estime le directeur.
Les "indignés" déménagent vers Evere
Tous les "indignés" qui occupaient le parc du Cinquantenaire depuis samedi ont plié bagage mardi après-midi. Vers 13h00, toutes les tentes ont été démontées. "Nous n'avons pas dû recourir à la force. L'évacuation s'est déroulée en concertation", explique une porte-parole de la zone de police Bruxelles-Capitale/Ixelles.
Le groupe d'"indignés" s'installera finalement sur l'espace de la plaine de jeux, située au stade Georges Pêtre, rue De Lombaerde à Evere. La délégation d'"indignés" qui s'était rendue au stade communal mardi matin n'était, dans un premier temps, pas enthousiaste à l'idée d'y installer un nouveau campement. "Ils ont depuis lors changé d'avis", indique le porte-parole de la police de la zone Bruxelles-Nord. "Près de 45 'indignés' sont arrivés au stade Georges Pêtre. Ils ont reçu l'autorisation d'y loger et d'utiliser les commodités sanitaires."
Le bourgmestre de la commune de Saint-Josse-ten-Noode, Jean Demannez, les a autorisés à occuper ce lieu jusqu'à vendredi. "Le service de prévention de la commune sera sur place pour les accompagner dans les meilleures conditions", indique le bourgmestre de Saint-Josse dans un communiqué.
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