dimanche 16 septembre 2012

Benoît Lutgen, fils de

Benoît Lutgen est né le 10 mars 1970 à Bastogne et est le fils de l'ancien sénateur et ministre wallon, Guy Lutgen
Il ne possède aucun diplôme universitaire ou de haute école. Il possède une "formation en langues au Royaume-Uni"

Benoît Lutgen a commencé à travailler dans le secteur agro-alimentaire comme responsable des suivis et des planifications de productions chez Unilever, à Marche-en-Famenne. Il y assumera ensuite le rôle de directeur commercial. (D'emblée responsable puis directeur chez Unilever, sans formation supérieure ... ?!?)
Après cette première grosse expérience, Benoît Lutgen se lance comme indépendant dans l’organisation d’événements et de conférences. Il se spécialise dans la politique environnementale et devient attaché dans le département agriculture d’un Cabinet ministériel ...

Un parlement à deux vitesses?

Dupriez président du parlement wallonEcolo,  lors de la réception officielle des Fêtes de Wallonie:
"Si la Wallonie ne veut pas se contenter d'être une soustraction de la Belgique, elle doit, elle-même, devenir résolument plus que la somme de ses parties et de ses sous-régions. Il est désormais possible pour notre Région d'organiser l'élection de ses députés en partie sur la base d'une circonscription couvrant l'ensemble du territoire régional. Cette circonscription régionale favoriserait un débat et une représentativité démocratique à l'échelle de la Wallonie"
"Nul ne sait quel contexte politique, quel emballement ou quel blocage, quel apaisement ou quelle solution pourraient résulter des élections fédérales et régionales de 2014. Mais quel que soit l'avenir de la Belgique, la Wallonie a besoin de trouver, en elle-même et en relation étroite avec Bruxelles, les ressources matérielles et symboliques de son avenir"

Benoît Lutgen:
" M. Dupriez est sorti de son rôle. Un président de parlement doit être au-dessus de la mêlée. J'ai apprécié les discours tenus précédemment. Ici, j'ai davantage entendu un co-président d'Ecolo qui s'exprimait"

"C'est faire injure à 1,5 million de Wallons qui vivent en milieu rural et qui ont le droit d'être représentés. Et puis je ne voudrais pas que demain, l'on assiste à une 'pipolisation' de la vie politique wallonne. La proximité avec l'électeur est quelque chose d'essentiel"

"Il y aurait un parlement à double vitesse, avec des députés de village considérés comme incapables de parler de l'intérêt wallon, et d'autres qui seraient les seuls capables de voir loin. Ca ne va pas"

L'an passé, les ministres Jean-Claude Marcourt et Jean-Marc Nollet avaient tenu le même plaidoyer que M. Dupriez. Le cdH ne l'avait guère apprécié. Cette année, sa réaction n'a pas varié.
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