A constater qu'un petit sondage populaire sur Internet (sans valeur scientifique) donne:
Parmi les villes internationales signataires, on retrouve 3 villes belges: Bruxelles, Liège et Namur.
Namur, avec son vrai faux bourgmestre ... |
Quelle étrangeté ...
Pas de souvenir de décisions officielles. Pour quel motif et surtout, qui organise la campagne d'affichage vue au moins à Bruxelles, qui est payée combien et par qui ?
Soutiens décidés démocratiquement réellement par les villes ?
Pas de réponses à ce jour.
Lire aussi:
JO 2024 : le duel Paris-Los Angeles
Budapest ayant jeté l’éponge, Paris et Los
Angeles restent seules en lice pour l’organisation des Jeux Olympiques
d’été en 2024. Passage en revue des atouts de chacune des candidatures.
Rome avait déjà jeté l'éponge. Budapest a annoncé à son tour ce mercredi qu'elle n'était plus candidate à l'organisation des Jeux Olympiques d'été en 2024
. Paris n'a donc plus qu'un seul adversaire : Los Angeles. Qui sortira
vainqueur de ce duel ? En attendant la décision du Comité international
olympique (CIO) le 13 septembre prochain, rappel des atouts et handicaps
de chaque candidature.
Le projet de Paris
Paris s'est donné du mal pour ficeler un projet « raisonnable », avec un budget de 6,2 milliards d'euros
. Si elle parvient à décrocher les JO de 2024, la capitale française
prévoit de réutiliser au maximum des infrastructures déjà financées
voire existantes : le Stade de France (où se tiendraient les cérémonies
d'ouverture et de clôture), le nouveau Roland-Garros, le stade
Jean-Bouin, l'AccorHotels Arena (ex-Palais omnisport de Paris-Bercy),
l'Arena 92, la base nautique de Vaires-sur-Marne, la Vélodrome et le
golf national de Saint-Quentin... Paris devra néanmoins financer la
construction d'un village olympique (qu'elle prévoit d'installer à
Pleyel-Bords de Seine) et un centre aquatique.
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