"Je tombe des nues. Ce sont les médias qui m'ont appris mon licenciement"
Anne Demelenne, secrétaire générale de la FGTB, syndicat représenté au sein du conseil d'administration du Crioc :
"Nous reconnaissons le travail qu'il a accompli à la tête du Centre, mais le conseil d'administration a estimé qu'il était sorti de la réserve qui lui avait été imposée et qu'il y avait dès lors rupture de confiance"
"Dans le communiqué qu'il a diffusé mardi soir, le directeur général du Crioc s'est exprimé en affirmant, de manière trop optimiste, une série de choses qui ne coïncident absolument pas avec les conclusions des audits."
"Marc Vandercammen n'est pas licencié pour faute grave. Pour autant, il n'est pas question qu'il parte avec un parachute doré, a rappelé Anne Demelenne, c'est-à-dire avec une somme disproportionnée qui mettrait à mal la survie financière du Crioc. Or 400 000 euros, c'est-à-dire approximativement le montant auquel Marc Vandercammen aurait droit, c'est disproportionné. Lui qui tenait tant au Crioc ne devrait pas mettre la survie de l'institution en péril. D'autant que des fautes ont été commises"
Les appareils ont encore frappé ! Les institutionnels n'aiment pas le charisme surtout si c'est quelqu'un hors de leurs chapelles ! Décidément la Wallonie n'en a pas fini avec les vieux démons !
RépondreSupprimerQue les consommateurs et citoyens licencient ces apparatchiks susceptibles et qui se croient autorisés à imposer leur mainmise totalitaire.
La créativité et la pédagogie communicative de Marc Vandercammen dénotent avec les lourdeurs et conservatismes des appareils bureaucrates
Insupportable ! Inacceptable ! Du balai pour le CA du CRIOC !