Une partie de la flotte des bus wallons appartient à des investisseurs privés japonais, car la Société régionale wallonne du transport ( la société faîtière des cinq TEC) avait conclu en mars 2005 une opération de "sale and lease back" portant sur une durée de neuf ans avec un fonds d'investissement japonais. La convention précise que la SRWT récupérera la propriété des bus, sans coût supplémentaire, le 4 mars 2014.
La SRWT a en pratique vendu 176 bus à cette société japonaise pour une somme de 34,2 millions €, puis loué pour une somme globale de 32,4 millions € ces mêmes bus.
Une autre convention similaire a été passée en 2006 pour la vente de 706 bus à un investisseur français.
Officiellement, l'opération japonaise aurait rapporté 1,8 million d'euros à la SRWT mais 500.000 euros ont également été versés à la société de consultance chargée du montage financier.
Willy Borsus:
La SRWT a en pratique vendu 176 bus à cette société japonaise pour une somme de 34,2 millions €, puis loué pour une somme globale de 32,4 millions € ces mêmes bus.
Une autre convention similaire a été passée en 2006 pour la vente de 706 bus à un investisseur français.
Officiellement, l'opération japonaise aurait rapporté 1,8 million d'euros à la SRWT mais 500.000 euros ont également été versés à la société de consultance chargée du montage financier.
Willy Borsus:
"On a du mal à croire que la SRWT gagne sur tous les tableaux, qu'elle fait un bénéfice en vendant ces bus et les récupère au bout du compte. Je ne pense pas que les investisseurs japonais soient de généreux donateurs"
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