Le 1er mai, Clément Méric avait déjà pris part à une bagarre, et fini à l’hôpital ... c'est ce qu'affirme une militante ...
La bagarre du premier mai, où Méric était présent et a été blessé
Plus d'info sur cette histoire ?
"Clément Méric, physiquement beaucoup moins baraqué» (1,80 mètre pour 66 kilos) que son agresseur présumé Esteban Morillo, 20 ans, à la carrure nettement plus large." Libération
"Lors de sa garde à vue, Esteban, qui n'a rien d'un colosse (1m80 pour 66 kilos), a reconnu avoir porté deux coups à mains nues. "Le parisen
Libé du 06/06:
Ils se sont dirigés vers nous. Ils nous ont encerclés, sorti des coups de poings américains et se sont jetés sur nous. Nous ne nous attendions pas à un tel affrontement, mais nous ne pouvions pas fuir, littéralement dos au mur. Clément a été touché au visage par un coup de poing américain. Nous avons finalement réussi à les faire fuir, mais trop tard ; Clément est mort sur le coup».
Libé 25/06:
le film de la RATP «prouve que le groupe d’extrême gauche a attendu longtemps les skinheads à côté de la station de métro pour en découdre et que les trois d’extrême droite venus faire des achats ont eu le temps d’appeler des renforts». Ce qui confirme les témoignages de vigiles et organisateurs de la vente privée, qui ont «vu et entendu les militants antifascistes chambrer les skinheads, Clément Méric ayant été le plus provocateur»
Libe du 06/06
Le Parti de gauche affirme que la victime, un étudiant de Sciences Po «connu pour son engagement contre l’extrême droite», a été «violemment frappée au sol par un groupe de plusieurs militants d’extrême droite, manifestement du Groupe JNR (Jeunesses nationalistes révolutionnaires)» et «laissé inanimé».
Libé 25/06:
Quant à l’information de RTL précisant que le militant antifa n’a pas été «lynché une fois par terre», tout le monde le savait, les témoins, la PJ et le procureur de Paris l’ayant bien expliqué.
Mais aussi, via dreuz.info :
Lire aussi:
Finkielkraut sur Clément Méric
Manipulation, mensonges : les vérités de l’affaire Méric
Clément Méric, le Martyr de la gauche française, depuis Mélenchon jusqu’à Jean-Marc Ayrault, est mort en essayant d’attaquer un homme par derrière, à trois contre un. Pourquoi la vérité est-elle restée cachée si longtemps ? Pourquoi le gouvernement ne souhaite-t-il pas dissoudre les groupuscules d’extrême gauche ? Depuis quelques jours, on commence à y voir clair sur l’affaire Méric, ce pauvre gamin décédé car quelques idéologues gauchistes avaient réussi à le lobotomiser. Clément Méric était embrigadé depuis quelques temps par les Antifas, des groupuscules dont le seul objectif, comme son nom l’indique, est la traque et la destruction des « fachistes » (mot qui n’a plus de sens depuis la chute de l’instit de gauche, Benito Mussolini et que chaque camp attribue à l’adversaire). En gros, les Antifas sont des Don Quichotte qui ont remplacé leurs moulins à vents par quelques nationalistes tout aussi manipulés qu’eux (mais qui au moins croient se battre pour leur pays et non pas contre une idéologie chimérique). Comble de la destruction de toute valeur et de la victoire de la société de consommation, nos rebelles de droite comme de gauche sont en fait des petits parisiens branchés qui n’aiment que la mode, les jolies fringues et leurs coupes de cheveux. Ironie du sort, ils se sont rencontrés dans une vente privée (SIC). Ici, le témoignage du vigile présent sur place lors du drame met en évidence le fait que ce sont Méric et ses acolytes qui ont agressé le groupe d’extrême droite. « Clément Méric voulait vraiment en découdre », a-t-il déclaré avant de préciser qu’il « semblait vraiment haïr ces gens. » Ainsi, les Antifas ont commencé à se moquer du groupe d’Esteban Morillo. Le vigile, qui a clairement identifié les Antifas comme ceux qui ont cherché la guerre, a dû les séparer et les gauchistes ont prévenus les autres qu’ils les attendraient dehors. La lâcheté des Antifas fait qu’ils étaient bien plus nombreux que l’autre groupe qui comprenait même une femme. Ces derniers ont alors appelé Esteban à la rescousse. Ensuite, dans la rue, les nationalistes ont essayé d’éviter le groupe de gauchistes, mais ces derniers on tout de même lancé la bagarre et porté les premiers coups. C’est là que la nouvelle vidéo sortie par RTL est intéressante : elle montre que Clément Méric s’est rué comme un lâche sur Esteban par derrière, alors que ce dernier se battait déjà seul contre deux Antifas. Il s’est alors retourné et a mis un coup de poing à Méric, qui est tombé sur le coup. Si mon fils, aussi grand et costaud soit il, se fait attaquer par derrière à 3 contre 1, je ne pourrai pas lui conseiller autre chose que de frapper pour se défendre. C’est exactement ce qu’à fait Esteban. C’est pour cela qu’il ne doit pas être la seconde victime de ces stupides luttes entre pseudos extrémistes et ne pas être envoyé en prison. Encore une fois, cette affaire est dramatique et le pauvre Méric est clairement une victime des groupuscules qui l’ont manipulé. Pour autant on ne peut pas laisser passer un homme qui attaque par derrière à trois contre 1 et qui est à l’origine de l’attaque, pour un Saint moderne, comme le font les médias et la classe politique depuis le début de l’affaire. Révoltant ! Selon Le Figaro, la police aurait avoué que cette vidéo aurait été mise de côté afin de ne pas raviver les tentions. Une bonne blague quand on connait le montant des dégâts causés par ces sauvages de gauchistes lors de leurs manifestations de soutien à Meric autorisées par la préfecture. 1000 fois moins nombreux que les manifestants de la Manif pour tous, ils ont fait 5 fois plus de dégâts. Mais cela, personne n’en parle. Tout simplement, les dirigeants socialistes étaient trop heureux de pouvoir encore faire diversion et diviser un peu plus la France, de pouvoir faire croire à quelques gogos que la « menace brune » (oui oui, de vrais éditorialistes ont vraiment repris cette expression) était encore présente, afin de remobiliser les quelques socialistes qui existent encore dans notre pays. Autrement dit, Hollande et Ayrault ont instrumentalisé un autre fait divers (ce qu’ils reprochaient tellement à Sarkozy) à des fins politiques. Sur le dos d’un enfant, c’est répugnant, surtout quand on imagine le nombre de petits bourgeois fils de profs qui vont vouloir imiter Méric…
"Clément Méric, physiquement beaucoup moins baraqué» (1,80 mètre pour 66 kilos) que son agresseur présumé Esteban Morillo, 20 ans, à la carrure nettement plus large." Libération
"Lors de sa garde à vue, Esteban, qui n'a rien d'un colosse (1m80 pour 66 kilos), a reconnu avoir porté deux coups à mains nues. "Le parisen
Libé du 06/06:
Ils se sont dirigés vers nous. Ils nous ont encerclés, sorti des coups de poings américains et se sont jetés sur nous. Nous ne nous attendions pas à un tel affrontement, mais nous ne pouvions pas fuir, littéralement dos au mur. Clément a été touché au visage par un coup de poing américain. Nous avons finalement réussi à les faire fuir, mais trop tard ; Clément est mort sur le coup».
Libé 25/06:
le film de la RATP «prouve que le groupe d’extrême gauche a attendu longtemps les skinheads à côté de la station de métro pour en découdre et que les trois d’extrême droite venus faire des achats ont eu le temps d’appeler des renforts». Ce qui confirme les témoignages de vigiles et organisateurs de la vente privée, qui ont «vu et entendu les militants antifascistes chambrer les skinheads, Clément Méric ayant été le plus provocateur»
Libe du 06/06
Le Parti de gauche affirme que la victime, un étudiant de Sciences Po «connu pour son engagement contre l’extrême droite», a été «violemment frappée au sol par un groupe de plusieurs militants d’extrême droite, manifestement du Groupe JNR (Jeunesses nationalistes révolutionnaires)» et «laissé inanimé».
Libé 25/06:
Quant à l’information de RTL précisant que le militant antifa n’a pas été «lynché une fois par terre», tout le monde le savait, les témoins, la PJ et le procureur de Paris l’ayant bien expliqué.
Mais aussi, via dreuz.info :
Fdesouche révèle lui que selon leurs « informations
et divers témoignages qui pour l’instant souhaitent rester anonymes,
Clément Méric faisait bien partie de la bande armée qui le soir du
samedi 26 janvier 2013 a violemment pris d’assaut la Cantada, bar
rock/métal du XIè arrondissement de Paris. »
Lé témoignage ajoute que « le chanteur de 8.6 Crew ainsi qu’une cliente avaient été frappés avec des battes de base-ball » et que « Clément
Méric est décrit par des témoins comme étant l’un des plus agressifs de
la bande : très excité, il se serait notamment distingué par le jet de
divers projectiles (verres, bouteilles…) sur les clients du bar tout en
les traitant de « fachos » ».
Et nous apprenons maintenant, c’est
encore Causeur.fr qui publie cette information importante, que Clément
Méric, au moment de l’agression, portait un protège-dents qui pourrait
laisser penser, mais l’enquête le dira, qu’il y a eu préméditation et
intention de massacrer Esteban et son groupe.
« Toujours selon nos informations, dit Causeur.fr, [Méric] portait pour sa part un protège-dents, accessoire peu usité quand on est en mode shopping. »
Lire aussi:
Finkielkraut sur Clément Méric
Manipulation, mensonges : les vérités de l’affaire Méric
Clément Méric, le Martyr de la gauche française, depuis Mélenchon jusqu’à Jean-Marc Ayrault, est mort en essayant d’attaquer un homme par derrière, à trois contre un. Pourquoi la vérité est-elle restée cachée si longtemps ? Pourquoi le gouvernement ne souhaite-t-il pas dissoudre les groupuscules d’extrême gauche ? Depuis quelques jours, on commence à y voir clair sur l’affaire Méric, ce pauvre gamin décédé car quelques idéologues gauchistes avaient réussi à le lobotomiser. Clément Méric était embrigadé depuis quelques temps par les Antifas, des groupuscules dont le seul objectif, comme son nom l’indique, est la traque et la destruction des « fachistes » (mot qui n’a plus de sens depuis la chute de l’instit de gauche, Benito Mussolini et que chaque camp attribue à l’adversaire). En gros, les Antifas sont des Don Quichotte qui ont remplacé leurs moulins à vents par quelques nationalistes tout aussi manipulés qu’eux (mais qui au moins croient se battre pour leur pays et non pas contre une idéologie chimérique). Comble de la destruction de toute valeur et de la victoire de la société de consommation, nos rebelles de droite comme de gauche sont en fait des petits parisiens branchés qui n’aiment que la mode, les jolies fringues et leurs coupes de cheveux. Ironie du sort, ils se sont rencontrés dans une vente privée (SIC). Ici, le témoignage du vigile présent sur place lors du drame met en évidence le fait que ce sont Méric et ses acolytes qui ont agressé le groupe d’extrême droite. « Clément Méric voulait vraiment en découdre », a-t-il déclaré avant de préciser qu’il « semblait vraiment haïr ces gens. » Ainsi, les Antifas ont commencé à se moquer du groupe d’Esteban Morillo. Le vigile, qui a clairement identifié les Antifas comme ceux qui ont cherché la guerre, a dû les séparer et les gauchistes ont prévenus les autres qu’ils les attendraient dehors. La lâcheté des Antifas fait qu’ils étaient bien plus nombreux que l’autre groupe qui comprenait même une femme. Ces derniers ont alors appelé Esteban à la rescousse. Ensuite, dans la rue, les nationalistes ont essayé d’éviter le groupe de gauchistes, mais ces derniers on tout de même lancé la bagarre et porté les premiers coups. C’est là que la nouvelle vidéo sortie par RTL est intéressante : elle montre que Clément Méric s’est rué comme un lâche sur Esteban par derrière, alors que ce dernier se battait déjà seul contre deux Antifas. Il s’est alors retourné et a mis un coup de poing à Méric, qui est tombé sur le coup. Si mon fils, aussi grand et costaud soit il, se fait attaquer par derrière à 3 contre 1, je ne pourrai pas lui conseiller autre chose que de frapper pour se défendre. C’est exactement ce qu’à fait Esteban. C’est pour cela qu’il ne doit pas être la seconde victime de ces stupides luttes entre pseudos extrémistes et ne pas être envoyé en prison. Encore une fois, cette affaire est dramatique et le pauvre Méric est clairement une victime des groupuscules qui l’ont manipulé. Pour autant on ne peut pas laisser passer un homme qui attaque par derrière à trois contre 1 et qui est à l’origine de l’attaque, pour un Saint moderne, comme le font les médias et la classe politique depuis le début de l’affaire. Révoltant ! Selon Le Figaro, la police aurait avoué que cette vidéo aurait été mise de côté afin de ne pas raviver les tentions. Une bonne blague quand on connait le montant des dégâts causés par ces sauvages de gauchistes lors de leurs manifestations de soutien à Meric autorisées par la préfecture. 1000 fois moins nombreux que les manifestants de la Manif pour tous, ils ont fait 5 fois plus de dégâts. Mais cela, personne n’en parle. Tout simplement, les dirigeants socialistes étaient trop heureux de pouvoir encore faire diversion et diviser un peu plus la France, de pouvoir faire croire à quelques gogos que la « menace brune » (oui oui, de vrais éditorialistes ont vraiment repris cette expression) était encore présente, afin de remobiliser les quelques socialistes qui existent encore dans notre pays. Autrement dit, Hollande et Ayrault ont instrumentalisé un autre fait divers (ce qu’ils reprochaient tellement à Sarkozy) à des fins politiques. Sur le dos d’un enfant, c’est répugnant, surtout quand on imagine le nombre de petits bourgeois fils de profs qui vont vouloir imiter Méric…
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