Magnette n'avait -outre des déclarations tonitruantes habituelles- "rien fait" et le ministre de tutelle Jean-Pascal Labille a son idée :
Il s’agit d’une formule de plafonnement et d'encadrement des salaires, visant à limiter la rémunération annuelle des CEO de ces entreprises. Un plafond de 290 000 € de salaire brut annuel maintenu, mais avec des exceptions possibles par entreprises, dans des limites ne pouvant dépasser X fois le salaire moyen dans l'entreprise.
Il y a également toute une série d'autres dispositions pour réglementer aussi la part variable de la rémunération, les assurances-pensions, les stock-options et les parachutes dorés en cas de rupture ...
Il en va de même pour les futures nominations à la tête de 5 entreprises publiques, SNCB et Infrabel, Belgocontrol, Loterie nationale et Société fédérale de participations et d'investissements.
Lire ausssi:
Johnny Thijs ne resterait pas patron de bpost pour 290 000 euros par an
Maar ook bij de NMBS-groep wordt het topkader stevig betaald, blijkt nu uit cijfers van de NMBS-Holding. Behalve de drie ceo’s binnen de NMBS-groep - Jannie Haek (holding, 512.104 euro per jaar), Luc Lallemand (Infrabel, 493.489 euro per jaar) en Marc Descheemaeker (NMBS, 472.804 euro per jaar) - blijken ook nog eens tien directeurs-generaal een loon van meer dan 290.000 euro per jaar op te strijken.
De drie ceo’s inbegrepen gaat het om vijf personeelsleden van de NMBS-Holding, vier bij Infrabel en vier bij de NMBS. Zij zouden meer dan 360.000 euro per jaar verdienen.