jeudi 19 mars 2015
mercredi 18 mars 2015
mardi 17 mars 2015
lundi 16 mars 2015
"Cette vidéo est truquée"
C'est l'histoire du marxiste qui gagnait beaucoup trop d'argent pour garder le "droit moral" d'être de gauche. Un récit récurrent dont les
retombées systématiquement négatives n'avaient visiblement jamais
atteint les oreilles de Yanis Varoufakis, l'omniprésent ministre des
Finances d'un gouvernement grec estampillé "Syriza".
Elle filme clandestinement le quotidien d'un bastion de l'Etat Islamique
“Expansion and conquest” make one of the pillars of the Islamist
doctrine. For that reason, it requires, and overtly or covertly
struggles for, expanding “rights” in non-Muslim countries.
It is simply futile to expect Islamists to demonstrate a crumb of the tolerance they demand of non-Muslim nations.
Islamists often do not hide it: They love head-count democracy in
lands where they make a majority; and hate it in lands where they are in
the minority. They would crush other faiths, including different sects
and practices of their own faith — or no faith, for that matter — where
they are in power.
In that happy set-up, the intriguing word “tolerance” is nowhere to
be seen. Respect for the minority is too rare a commodity: “This is our
land, we are in the majority, we rule and we rule it as we wish; and if
you don’t like it, go to hell.”
Surprisingly (or maybe not), Islamists happen to become dedicated
warriors of tolerance, religious freedoms, human rights and all other
fancy tags when they live (in their choice of) Muslim-minority
countries. Just imagine what could happen if 1.5 million Israelis lived
in the Gaza Strip bordering a militarily, economically and
technologically mighty, larger, more populous Hamas-ruled Palestinian
state with a Jewish minority. Tolerance and rights for the Jews? Would
you want to be a Jew there?
dimanche 15 mars 2015
samedi 14 mars 2015
Elio et les syndicats: irresponsabilité ?
vendredi 13 mars 2015
50 nuances d'aigri
mercredi 11 mars 2015
#MIPIM 2015
Wednesday 11/03
8:30 AM – 10:00 AM
Conference : "Liège, the perfect time to invest"
Place : Belgian Pavilion - Espace Debussy – Conference RoomSpeakers :
- J-L Pluymers (GRE)
- F. Lejeune (SPI)
- M. Elsen (Verviers)
- M. Bolland (Blegny)
- S. Themont (Flémalle)
- F. Daerden (Herstal)
- A. Mathot (Seraing)
- W. Demeyer (Liège)
- K. Adams (DP World pour PAL)
- P. Beaujean (DP World pour PAL)
Registration : elodie.gernay@greliege.be
Libellés :
Alain Mathot,
Daerden,
Liège,
mipim,
Willy Demeyer
Entre 22 et 24 millions €
Dans le cadre du plan de
sauvetage de Dexia et d'Ethias pendant la crise bancaire de 2008, la
Région W a été appelée à lever plusieurs emprunts pour un montant de 750
millions €.
Jean-Claude Marcourt, au Parlement wallon, vient de lever une partie du voile sur le véritable coût de ce double sauvetage pour les finances wallonnes :
Jean-Claude Marcourt, au Parlement wallon, vient de lever une partie du voile sur le véritable coût de ce double sauvetage pour les finances wallonnes :
Depuis 2009, la Wallonie paie ainsi annuellement entre 22 et 24 millions € pour honorer les charges d'intérêt liées à ces différents emprunts.
Libellés :
banque,
crise,
Dexia,
Ethias,
finance,
Jean-Claude Marcourt,
Région wallonne
lundi 9 mars 2015
dimanche 8 mars 2015
Journée internationale des droits des femmes
Chaque 8 mars, depuis 1975, nous célébrons la journée internationale
des droits des femmes.
Qui racontait aussi ici que cette journée est «née d'une réunion antiféministe».
Lire aussi:les femmes dépassent les hommes en 12 chiffres
Voici les douze chiffres clés des secteurs où elles coiffent les hommes au poteau
Dès l’âge de 15 ans, elles consacrent une heure de plus que les garçons par semaine à leurs devoirs, selon une étude réalisée par l’OCDE dans 65 pays (2015). Elles lisent aussi davantage, quand les garçons, eux, se consacrent plus aux jeux vidéo. D’où leurs succès scolaires. À 17 ans, 55 % des filles sont au lycée, contre 42 % des garçons. Et elles représentent 57 % des inscrits en licence et master.
- Ou la journée internationale du droit des femmes.
- Ou la journée internationale de la femme.
- Ou la journée internationale des femmes.
Qui racontait aussi ici que cette journée est «née d'une réunion antiféministe».
Voici les douze chiffres clés des secteurs où elles coiffent les hommes au poteau
Dès l’âge de 15 ans, elles consacrent une heure de plus que les garçons par semaine à leurs devoirs, selon une étude réalisée par l’OCDE dans 65 pays (2015). Elles lisent aussi davantage, quand les garçons, eux, se consacrent plus aux jeux vidéo. D’où leurs succès scolaires. À 17 ans, 55 % des filles sont au lycée, contre 42 % des garçons. Et elles représentent 57 % des inscrits en licence et master.
Cette montée en puissance des femmes dans les études est désormais
mondiale. Aux États-Unis, quand deux hommes obtiennent un diplôme
d'études supérieures, trois femmes en obtiennent un. D'après The Economist, en 2011, les femmes étaient 2,6 millions de plus que les hommes à étudier dans les universités américaines. Et elles étaient 10,6 millions à obtenir un master's degree (équivalent du master 1) contre 10,5 millions d'hommes. Et en 2050, en Chine, on comptera 140 femmes diplômées pour 100 hommes diplômés, selon une récente étude espagnole.
Les jeunes Américaines de moins de 30 ans gagnent, en moyenne, un salaire supérieur de 8 % à celui des hommes.
Des Qataries se lancent dans les affaires, malgré les freins de la société
Doha a lancé un programme appelé "Qatarization", visant à développer l'emploi national, des hommes comme des femmes.
A 28 ans, Maryam al-Subaiey a choisi de créer son
commerce, Q-Talent, qui vend des objets "Made in Qatar": comme elle, des
dizaines de jeunes Qataries se lancent dans les affaires, encouragées
par un programme gouvernemental, en dépit du conservatisme religieux ou
familial.
Les jeunes Américaines de moins de 30 ans gagnent, en moyenne, un salaire supérieur de 8 % à celui des hommes.
Des Qataries se lancent dans les affaires, malgré les freins de la société
Doha a lancé un programme appelé "Qatarization", visant à développer l'emploi national, des hommes comme des femmes.
samedi 7 mars 2015
American "Bloody Sunday"
Le 7 mars 1965, la marche pacifique de Selma en Alabama est violemment
réprimée.
A la tête de la protestation : Amelia Boynton Robinson et son mari, tous deux habitants de Selma. Ils reçoivent le soutien de nombreux représentants du Mouvement afro-américain des droits civiques, y compris de Martin Luther King, James Bevel et Hosea Williams. La marche a été organisée en faveur du droit de vote des afro-américains.
Son but : relier les deux villes d'Alabama de Selma et Montgomery. Cette première journée est désormais connue sous le nom de "Bloody Sunday".
Expliquez-nous ... les marches de Selma via France Info
50 ans après, le film Selma raconte ces marches pour le droit de vote des noirs aux États-Unis. C’était quoi les marches de Selma ? Il y a eu trois marches à Selma en mars 1965, un moment crucial dans la lutte pour les droits civiques.
Le très difficile vote des noirs Selma
Selma est une petite ville d'Alabama, un Etat du sud des Etats-Unis, qui est ouvertement raciste à l'époque. Son gouverneur, George Wallace est démocrate, ce qui ne l'empêche pas d'être un partisan de la ségrégation particulièrement motivé. En 1965, la loi américaine n'interdit pas au sens strict le droit de vote pour les noirs, mais dans les Etats du sud comme l'Alabama, des mesures arbitraires rendent l'application de la loi pratiquement impossible. Résultat, à Selma, sur les 15.000 noirs de la ville, qui représentent alors la moitié de la population, 300 seulement peuvent voter, soit 2% d’entre eux.
Première marche, "Bloody Sunday"
En février 1965, un manifestant est mortellement blessé par des policiers. Un appel est lancé pour une marche le 7 mars. C'est un dimanche, qui deviendra le "Bloody Sunday", le dimanche sanglant. Ce jour-là à Selma, 600 manifestants tentent de rejoindre à pied la ville de Montgomery, la capitale de l'Alabama où se trouve le gouverneur, à 90 kilomètres de Selma. Mais rapidement, ils sont arrêtés par la police de l'Etat sur le pont Edmund Pettus de Selma. La police charge à cheval. Coups de matraques, gaz lacrymogènes. il y a de nombreux blessés.
Deuxième marche avec Martin Luther King
Les images passent à la télévision et choquent le pays. Martin Luther King appelle à une deuxième marche pour le 9 mars. C'est lui, le leader du combat pour les droits civiques, qui mène la marche avec 2.000 personnes, qui se recueillent sur le pont de Selma. Quelques heures plus tard, un pasteur blanc, solidaire des manifestants, est battu à mort par des militants racistes. Des manifestations éclatent. Le président Johnson appelle au calme.
La troisième marche arrive à Montgomery
Un appel est lancé pour une troisième marche, le 21 mars, deux semaines après le "Bloody Sunday". Sous la protection de la police fédérale, plus de 2.000 manifestants partent de Selma, menés par Martin Luther King en direction Montgomery. Quand ils y arrivent, quatre jours plus tard, ils sont 25.0000. le gouverneur George Wallace refuse de les recevoir. Mais en aout 1965, le président Johnson signe le "Voting Right Act" qui supprime les barrières au vote des noirs et à la fin des années 70, George Wallace demande pardon aux noirs et renie ses positions racistes
A la tête de la protestation : Amelia Boynton Robinson et son mari, tous deux habitants de Selma. Ils reçoivent le soutien de nombreux représentants du Mouvement afro-américain des droits civiques, y compris de Martin Luther King, James Bevel et Hosea Williams. La marche a été organisée en faveur du droit de vote des afro-américains.
Son but : relier les deux villes d'Alabama de Selma et Montgomery. Cette première journée est désormais connue sous le nom de "Bloody Sunday".
Expliquez-nous ... les marches de Selma via France Info
50 ans après, le film Selma raconte ces marches pour le droit de vote des noirs aux États-Unis. C’était quoi les marches de Selma ? Il y a eu trois marches à Selma en mars 1965, un moment crucial dans la lutte pour les droits civiques.
Le très difficile vote des noirs Selma
Selma est une petite ville d'Alabama, un Etat du sud des Etats-Unis, qui est ouvertement raciste à l'époque. Son gouverneur, George Wallace est démocrate, ce qui ne l'empêche pas d'être un partisan de la ségrégation particulièrement motivé. En 1965, la loi américaine n'interdit pas au sens strict le droit de vote pour les noirs, mais dans les Etats du sud comme l'Alabama, des mesures arbitraires rendent l'application de la loi pratiquement impossible. Résultat, à Selma, sur les 15.000 noirs de la ville, qui représentent alors la moitié de la population, 300 seulement peuvent voter, soit 2% d’entre eux.
Première marche, "Bloody Sunday"
En février 1965, un manifestant est mortellement blessé par des policiers. Un appel est lancé pour une marche le 7 mars. C'est un dimanche, qui deviendra le "Bloody Sunday", le dimanche sanglant. Ce jour-là à Selma, 600 manifestants tentent de rejoindre à pied la ville de Montgomery, la capitale de l'Alabama où se trouve le gouverneur, à 90 kilomètres de Selma. Mais rapidement, ils sont arrêtés par la police de l'Etat sur le pont Edmund Pettus de Selma. La police charge à cheval. Coups de matraques, gaz lacrymogènes. il y a de nombreux blessés.
Deuxième marche avec Martin Luther King
Les images passent à la télévision et choquent le pays. Martin Luther King appelle à une deuxième marche pour le 9 mars. C'est lui, le leader du combat pour les droits civiques, qui mène la marche avec 2.000 personnes, qui se recueillent sur le pont de Selma. Quelques heures plus tard, un pasteur blanc, solidaire des manifestants, est battu à mort par des militants racistes. Des manifestations éclatent. Le président Johnson appelle au calme.
La troisième marche arrive à Montgomery
Un appel est lancé pour une troisième marche, le 21 mars, deux semaines après le "Bloody Sunday". Sous la protection de la police fédérale, plus de 2.000 manifestants partent de Selma, menés par Martin Luther King en direction Montgomery. Quand ils y arrivent, quatre jours plus tard, ils sont 25.0000. le gouverneur George Wallace refuse de les recevoir. Mais en aout 1965, le président Johnson signe le "Voting Right Act" qui supprime les barrières au vote des noirs et à la fin des années 70, George Wallace demande pardon aux noirs et renie ses positions racistes
Lire aussi:
La marche contre le racisme aux États-Unis « n'est pas terminée », dit Obama
Rosa Parks
1er décembre 1955 : Dans un autobus à Montgomery en Alabama, la couturière Rosa Parks refuse de céder son siège à un Blanc.
La marche contre le racisme aux États-Unis « n'est pas terminée », dit Obama
Rosa Parks
1er décembre 1955 : Dans un autobus à Montgomery en Alabama, la couturière Rosa Parks refuse de céder son siège à un Blanc.
vendredi 6 mars 2015
jeudi 5 mars 2015
Le Hamas est une organisation "terroriste"
Un tribunal égyptien a jugé le 28 février 2015 que le Hamas était
une organisation "terroriste", nouveau coup dur porté au mouvement
palestinien dont les relations sont au plus bas avec Le Caire qui
l'accuse de soutenir l'opposition islamiste.
Le Hamas islamiste, qui contrôle de facto la bande de Gaza voisine, a aussitôt dénoncé ce jugement, rendu près d'un mois après une décision similaire frappant sa branche armée, le qualifiant de "grande honte qui souille la réputation de l'Egypte".
Les relations entre le Hamas et l'Egypte sont très tendues depuis la destitution en juillet 2013 du président islamiste Mohamed Morsi par l'ex-chef de l'armée et actuel président, Abdel Fattah al-Sissi.
Le Hamas islamiste, qui contrôle de facto la bande de Gaza voisine, a aussitôt dénoncé ce jugement, rendu près d'un mois après une décision similaire frappant sa branche armée, le qualifiant de "grande honte qui souille la réputation de l'Egypte".
Les relations entre le Hamas et l'Egypte sont très tendues depuis la destitution en juillet 2013 du président islamiste Mohamed Morsi par l'ex-chef de l'armée et actuel président, Abdel Fattah al-Sissi.
mardi 3 mars 2015
dimanche 1 mars 2015
État laïc #oupas
Tariq Ramadan est à côté de la plaque sur toute la ligne.
C'est la place intrinsèque des religions avec séparation de l'État et des confessions religieuses et donc avec impartialité/neutralité de l'État qui est la base d'un État laïc ...
Islam ou pas, rien à voir ...
C'est la place intrinsèque des religions avec séparation de l'État et des confessions religieuses et donc avec impartialité/neutralité de l'État qui est la base d'un État laïc ...
Islam ou pas, rien à voir ...
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