dimanche 23 novembre 2014
lundi 17 novembre 2014
Qui veut des numéros INAMI ?
Marcourt est -rappelons-le- "Ministre de l'Enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles"
depuis juillet 2009 et
l'idée d'un examen d'entrée pour les futurs étudiants en médecine lui semble être quelque chose de "profondément injuste"....
ATTENTION, l'explication fournie est totalement surréaliste [au minimum] et pourrait [au maximum] provoquer un suicide collectif désespéré des détenteurs de QI à plus d'un chiffre :
ATTENTION, l'explication fournie est totalement surréaliste [au minimum] et pourrait [au maximum] provoquer un suicide collectif désespéré des détenteurs de QI à plus d'un chiffre :
"Entre ceux qui ont la chance d'aller dans les écoles qui les forment et qui les formatent pour aller à l'université et ceux qui dans des régions où cette tradition n'est pas là, où le modèle socio-économique, voire culturel n'est pas dans ce sens-là, on ne forme pas les jeunes pour aller à l'université.
Et ce que je me refuse à faire c'est simplement ceci : c'est de dire qu'un jeune qui a la capacité intellectuelle, le courage et l'abnégation de faire des études universitaires ne puissent les faire simplement parce que l'enseignement secondaire est trop inégalitaire."
dimanche 16 novembre 2014
Qui peut des millions pour la protonthérapie ?
On se souviendra de cette "polémique", ce scandale, plutôt d'avril dernier:
Ce dossier de#protonthérapie, ce n'est même pas du communautaire, mais un ersatz d'imbécilité sous-régionale profonde [au mieux]
La Belgique se payait donc le luxe de construire deux centres de protonthérapie sur son territoire alors que "c'est l'aspect financier qui avait bloqué le dossier pendant une décennie".
Toujours selon le journal, "pour les recteurs de la KUL et de l'UCL, Rik Torfs et Bruno Delvaux, l'alliance dévoilée en février dernier entre leurs universités en vue de construire le premier centre de protonthérapie en Belgique est la preuve de la complexité du dossier. Ce centre de technologie de pointe dans le traitement du cancer chez les enfants représente un investissement de 43 millions d'euros.
Le fait de voir la plus grande université francophone choisir la Flandre et non la Wallonie pour implanter une technologie développée par la société IBA a froissé les susceptibilités politiques dans le sud du pays et en particulier celle du bourgmestre de Charleroi Paul Magnette."
Rik Torfs et Bruno Delvaux estimaient à l'époque que la décision du gouvernement était une aberration. Ils parlaient de gaspillage et de détournement d'argent public par le PS, en pleine campagne électorale, à l'époque.
Aujourd'hui, on apprend via un communiqué Belga que "L'Université catholique de Louvain se raviserait. Qu'elle avait critiqué le futur centre public de protonthérapie wallon à Charleroi, concurrent de son projet à Leuven, mais qu'elle changerait de stratégie"
Le communiqué en concluerait que "L'UCL ne contesterait plus la viabilité d'un deuxième centre belge de protonthérapie et plaiderait désormais pour ne pas être exclue du projet wallon"
Alors qu'il semble clair que l'argent public a été à nouveau engagé sur des bases partisanes en doublon et dans un cadre vexatoire à destination de l'Université Catholique, dont l'excellence et l'indépendance énerveraient des milieux plus prosélytes et anticléricaux sectaires.
Plus fort encore: "L'ULB, l'ULg, Namur et Mons sont ouverts à la discussion, mais il est exclu que l'UCL intègre le partenariat technologique établi entre les quatre universités et la société IBA, et dont l'objectif est de créer un centre de recherche scientifique"
Pour rappel, un principe essentiel de FP7_Projects et maintenant de H2020funds est la création de réseaux de recherche .... aucune innovation: toujours les mêmes couillonnades; en guise de réseau: celui des copains.
"Le gouvernement wallon a décidé de financer à hauteur de 47 millions d'euros un centre de protonthérapie à Charleroi"et ce quelques semaines après l'annonce d'un projet similaire emmené par le tandem UCL et KUL à Leuven, nous apprenait l'Echo.
Ce dossier de
La Belgique se payait donc le luxe de construire deux centres de protonthérapie sur son territoire alors que "c'est l'aspect financier qui avait bloqué le dossier pendant une décennie".
Toujours selon le journal, "pour les recteurs de la KUL et de l'UCL, Rik Torfs et Bruno Delvaux, l'alliance dévoilée en février dernier entre leurs universités en vue de construire le premier centre de protonthérapie en Belgique est la preuve de la complexité du dossier. Ce centre de technologie de pointe dans le traitement du cancer chez les enfants représente un investissement de 43 millions d'euros.
Le fait de voir la plus grande université francophone choisir la Flandre et non la Wallonie pour implanter une technologie développée par la société IBA a froissé les susceptibilités politiques dans le sud du pays et en particulier celle du bourgmestre de Charleroi Paul Magnette."
Rik Torfs et Bruno Delvaux estimaient à l'époque que la décision du gouvernement était une aberration. Ils parlaient de gaspillage et de détournement d'argent public par le PS, en pleine campagne électorale, à l'époque.
Aujourd'hui, on apprend via un communiqué Belga que "L'Université catholique de Louvain se raviserait. Qu'elle avait critiqué le futur centre public de protonthérapie wallon à Charleroi, concurrent de son projet à Leuven, mais qu'elle changerait de stratégie"
Le communiqué en concluerait que "L'UCL ne contesterait plus la viabilité d'un deuxième centre belge de protonthérapie et plaiderait désormais pour ne pas être exclue du projet wallon"
Alors qu'il semble clair que l'argent public a été à nouveau engagé sur des bases partisanes en doublon et dans un cadre vexatoire à destination de l'Université Catholique, dont l'excellence et l'indépendance énerveraient des milieux plus prosélytes et anticléricaux sectaires.
Plus fort encore: "L'ULB, l'ULg, Namur et Mons sont ouverts à la discussion, mais il est exclu que l'UCL intègre le partenariat technologique établi entre les quatre universités et la société IBA, et dont l'objectif est de créer un centre de recherche scientifique"
Pour rappel, un principe essentiel de FP7_Projects et maintenant de H2020funds est la création de réseaux de recherche .... aucune innovation: toujours les mêmes couillonnades; en guise de réseau: celui des copains.
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samedi 15 novembre 2014
9 préceptes de Buffett pour gérer au mieux une affaire
Source: L'Echo
1. Rester calme face à la volatilité.
2. Garder une bonne entreprise et penser sur le long terme.
3. Rester concentré sur les fondamentaux de l’entreprise.
4. Maintenir des coûts bas.
5. Conserver des incitants simples pour le personnel.
6. Rester à l’écart des problèmes.
7. Garder pour vous vos actions sous-évaluées.
8. Rester petit.
9. Veiller à sa réputation.
Lire aussi:
"Merci est le mot le plus important du management"
1. Rester calme face à la volatilité.
2. Garder une bonne entreprise et penser sur le long terme.
3. Rester concentré sur les fondamentaux de l’entreprise.
4. Maintenir des coûts bas.
5. Conserver des incitants simples pour le personnel.
6. Rester à l’écart des problèmes.
7. Garder pour vous vos actions sous-évaluées.
8. Rester petit.
9. Veiller à sa réputation.
Lire aussi:
"Merci est le mot le plus important du management"
mardi 11 novembre 2014
Marre des dépravés nus ?
Monsieur Luperto, atterré par les accusations portées à son égard, "conteste s’être exhibé à l’égard de qui que ce soit, qu’il soit majeur ou mineur".
Il a précisé que sa démission "n’implique de sa part aucune reconnaissance d’une quelconque culpabilité pénale et estime pouvoir bénéficier, comme tout citoyen, de la présomption d’innocence, garantie démocratique de notre état de droit".
Bien évidemment, JC Luperto conserve ses mandats rémunérateurs de député et de bourgmestre de Sambreville. Rien n’oblige le député-bourgmestre à abandonner ses mandats. En effet, à ce stade, il n’est ni inculpé des faits dont on le suspecte, ni a fortiori privé de liberté. Cela ne pourrait s’envisager qu’après la levée de son immunité parlementaire par les deux assemblées législatives dont il est membre.
Il a démissionné de son poste de président du parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Cette démission fait de facto monter la première vice-présidente Valérie De Bue (MR) au perchoir de l'assemblée.
Il a précisé que sa démission "n’implique de sa part aucune reconnaissance d’une quelconque culpabilité pénale et estime pouvoir bénéficier, comme tout citoyen, de la présomption d’innocence, garantie démocratique de notre état de droit".
"Afin d'assurer ma défense dans la sérénité et compte tenu que les accusations dont je fais l'objet nuisent à l'autorité indispensable au bon fonctionnement des institutions, je crois utile d'une part de démissionner de ma fonction de président du parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et, d'autre part, de procéder à la désignation d'un échevin en qualité de bourgmestre faisant fonction de la Commune de Sambreville"
Bien évidemment, JC Luperto conserve ses mandats rémunérateurs de député et de bourgmestre de Sambreville. Rien n’oblige le député-bourgmestre à abandonner ses mandats. En effet, à ce stade, il n’est ni inculpé des faits dont on le suspecte, ni a fortiori privé de liberté. Cela ne pourrait s’envisager qu’après la levée de son immunité parlementaire par les deux assemblées législatives dont il est membre.
Il a démissionné de son poste de président du parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Cette démission fait de facto monter la première vice-présidente Valérie De Bue (MR) au perchoir de l'assemblée.
dimanche 9 novembre 2014
Des gens utiles ?
Mis à jour
Ces ministres qui ne seront jamais débordés
Lors de la mise sur pied en juillet dernier des gouvernements wallons, bruxellois et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, un certain déséquilibre était déjà pointé du doigt par les médias en matière de répartition des compétences. Alors que certains ministres comme Maxime Prévot (CDH), Joëlle Milquet (CDH), Jean-Claude Marcourt (PS) ou encore Paul Furlan (PS) pour ne citer qu’eux étaient garnis de très (trop ?) nombreuses compétences, d’autres, essentiellement en Fédération Wallonie-Bruxelles et à Bruxelles étaient par contre montés dans un exécutif avec des compétences parfois moins importantes que certains échevinats des grandes villes. Une armée mexicaine à la Fédération Wallonie-Bruxelles Un peu moins de cinq mois après leur entrée en fonction, nous avons voulu analyser les premiers bilans de ces ministres ou secrétaires d’Etat (bruxellois) qui ont hérité de ces compétences nécessaires, certes, mais qui auraient pu très bien se retrouver dans l’escarcelle d’autres ministres. Si la majorité précédente (PS/CDH/Ecolo) avait œuvré dans le sens inverse, en multipliant, par exemple, les doubles casquettes ministérielles (Nollet, Antoine, Demotte et Marcourt se retrouvant dans deux exécutifs), c’est plutôt la marche arrière qui a été enclenchée en ce début de législature. Si nombre de justifications ont été entendues pour défendre ces choix, aucune n’a véritablement convaincu. Le sentiment de nominations, à tout prix, pour certains joyeux serviteurs de la cause fait penser à une armée mexicaine. Une métaphore péjorative à dessein qui, au vu des actions concrètes réalisées ces derniers mois par ces ministres "pièces rapportées", semble se confirmer.
Lors de la mise sur pied en juillet dernier des gouvernements wallons, bruxellois et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, un certain déséquilibre était déjà pointé du doigt par les médias en matière de répartition des compétences. Alors que certains ministres comme Maxime Prévot (CDH), Joëlle Milquet (CDH), Jean-Claude Marcourt (PS) ou encore Paul Furlan (PS) pour ne citer qu’eux étaient garnis de très (trop ?) nombreuses compétences, d’autres, essentiellement en Fédération Wallonie-Bruxelles et à Bruxelles étaient par contre montés dans un exécutif avec des compétences parfois moins importantes que certains échevinats des grandes villes. Une armée mexicaine à la Fédération Wallonie-Bruxelles Un peu moins de cinq mois après leur entrée en fonction, nous avons voulu analyser les premiers bilans de ces ministres ou secrétaires d’Etat (bruxellois) qui ont hérité de ces compétences nécessaires, certes, mais qui auraient pu très bien se retrouver dans l’escarcelle d’autres ministres. Si la majorité précédente (PS/CDH/Ecolo) avait œuvré dans le sens inverse, en multipliant, par exemple, les doubles casquettes ministérielles (Nollet, Antoine, Demotte et Marcourt se retrouvant dans deux exécutifs), c’est plutôt la marche arrière qui a été enclenchée en ce début de législature. Si nombre de justifications ont été entendues pour défendre ces choix, aucune n’a véritablement convaincu. Le sentiment de nominations, à tout prix, pour certains joyeux serviteurs de la cause fait penser à une armée mexicaine. Une métaphore péjorative à dessein qui, au vu des actions concrètes réalisées ces derniers mois par ces ministres "pièces rapportées", semble se confirmer.
vendredi 7 novembre 2014
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