mercredi 25 juin 2014

Non.cdh !

Non ! Cela devient une habitude dans ce parti, "scotché au PS"

D'après 
Le vote au Bureau du : 56 voix pour (le refus de la note De Wever), 2 abstentions (Benoît Cerexhe et André Dubus)

Ils ont totalement tort pour diverses raisons.L'argumentaire de Lutgen est complétement foireux et au minimum incohérent. Si réellement, il y avait "un problème de loup", c'était il y a 1 mois qu'il fallait le dire et ne pas faire perdre au pays 1 mois d'absence de gouvernance.

Quoi qu'il en soit, voici mes conclusions très résumées à propos de cette note BDW:
  • elle est pleine de bon sens, cohérente et bien balancée en se focalisant sur les priorités MAJEURES.
  • Je confirme PLEINEMENT mes vives critiques à l'égard de Lulu - qui ne pouvait PAS refuser de discuter/négocier sur cette base.


Irresponsable !

Au-delà de l'irresponsabilité, il y a 1 mois de perdu "à faire semblant".

Lire aussi:
"La note De Wever n'est pas aussi innocente que ça": l'analyse de l'ACV (Mouvement Ouvrier Chrétien flamand)

Tensions très vives entre le cdH Benoît Lutgen et le MR Charles Michel

Les patrons critiquent le «non» de Lutgen
Les quatre grandes organisations patronales du pays réclament d’urgence un gouvernement fort et des réformes.
Les patrons s’impatientent. La FEB (fédérale), l’Union wallonne des entreprises, le Beci (Bruxelles) et le Voka (Flandre) déplorent l’échec de la mission de Bart De Wever. Michèle Sioen (FEB) résume : « Il faut à présent un signal qu’un gouvernement fort va vite arriver. » Le « non » de Lutgen passe mal. Pour Michel Delbaere (Voka), dans les propos du président du CDH, il y avait « plus d’émotion que de rationalité. Et les émotions, cela peut se refroidir. Je le regrette. Parce que les procès d’intention ne vont pas nous aider à avancer ».
« Côté flamand, nous avons trois programmes qui étaient très proches les uns des autres et qui avaient obtenu 66 % aux élections. L’électeur a choisi, il faut quand même que son choix soit respecté. Ce n’est pas un choix de coalition, mais le choix d’une coalition cohérente. Nous demandons qu’on respecte le choix de l’électeur et nous demandons des hommes d’Etat, qui dépassent les intérêts des partis pour prendre le bien commun en compte. »
Pas de dissonance du côté de l’Union wallonne des entreprises. «  En Wallonie, on ressent encore plus l’urgence qu’ailleurs, dit Thierry Huet. Le retard de PIB ne sera jamais comblé par des mois de négociation, mais par du travail et de la croissance. Et il y a des programmes qui prennent beaucoup plus la direction de la croissance. Il nous faut des décisions rapides, claires et nettes. »
 

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