mardi 13 juin 2017

SamuSocial Onkendaelien ...

https://twitter.com/LOnkelinx/status/874564449444691968

Etienne Dujardin 
Quand parlait du P$ liégeois

De PS bepaalde niet alleen de raad van bestuur van Samusocial, maar stelde ook mensen tewerk in de vzw: van de broer van Yvan Mayeur tot de dochter van Laurette Onkelinx.
"Ik heb haar [ndlr: wie?] in al die tijd twee keer gezien. Twee keer zat ze champagne te drinken bij de directie."
Verder wordt uit gesprekken met werknemers duidelijk dat giften in natura eerst langs de directie passeerden om pas als laatste bij de daklozen te belanden. "Ik herinner me een lading matrassen van een chic hotel", vertelt een bron. "Ik heb er doelbewust over gezwegen op de vergadering, want ik kende de gevolgen."

On apprend donc également dans cet article que le frère de Yvan Mayeur travaille au Samu Social ...


Car selon Le Vif,
Outre la discussion sur la composition du conseil d'administration du Samusocial et les indemnités perçues par les administrateurs pour des réunions qui n'avaient peut-être pas lieu, il s'avère à présent que plusieurs politiques du PS ont engagé des membres de leur famille dans l'organisation.
Le frère de l'ancien bourgmestre Mayeur y travaille comme responsable du matériel. La fille de Laurette Onkelinx, la présidente du PS bruxellois, a également travaillé un temps pour le Samusocial. D'après une source, il s'agit d'un stage. D'après une autre source, elle a travaillé une petite année et le poste a été créé pour elle, sans publication d'une offre d'emploi. Un emploi fictif. "Durant tout ce temps, je ne l'ai vue que deux fois. Et les deux fois, elle buvait du champagne avec la direction", témoigne un ancien cadre.
La fille de Pascale Peraïta, l'ancienne présidente du CPAS, travaille toujours au Samusocial.
"Il est bien possible que toutes ces personnes aient fait leur travail convenablement, ou le fassent toujours. Mais c'est significatif de la façon dont le PS gérait l'organisation de sans-abri. C'était plus que fermer les yeux", conclut De Morgen.

Mais aussi ...

https://www.cumuleo.be/mandataire/15769-abbes-guenned.php


Lire aussi:


"Quatre chantiers sont en cours" à Bruxelles en réponse à la crise de la gouvernance qui se manifeste notamment dans le scandale du Samusocial, indique Charles Picqué (PS) dans un entretien au Soir publié mardi.
Le président du Parlement bruxellois et de son groupe de travail gouvernance y fait le point sur l'avancement des travaux, soulignant qu'en Région bruxelloise, l'originalité est que "dès le début des 'affaires', on a eu la volonté de travailler ensemble, majorité et opposition".

Un des chantiers est "la révision de l'ordonnance de 2006 sur la transparence et les rémunérations".

La fille de Laurette Onkelinx a eu un emploi au Samusocial, mais "il n'était pas fictif"




La fille de la présidente de la fédération bruxelloise du PS, Laurette Onkelinx, Sara, a bien exercé un emploi au sein du Samusocial, a admis mardi matin Laurette Onkelinx, par la voix de la porte-parole de la présidence de la fédération. Il s'agissait d'un emploi que la jeune femme a exercé de 2011 à 2013 qui n'était pas fictif, contrairement à une hypothèse avancée dans ce sens dans les quotidiens De Morgen et Het Laatste Nieuws, dans leur édition de mardi, sur foi de témoignages anonymes.

Pascale Peraïta confirme que ses deux filles ont travaillé au Samusocial


Après les révélations parues dans la presse flamande mardi matin, l’ancienne présidente du CPAS de Bruxelles, Pascale Peraïta, a confirmé mardi après-midi que ses deux filles ont travaillé au Samusocial par le passé.
Celles-ci y ont été employées comme travailleuse polyvalente, et aide-soignante, précise Mme Peraïta dans un communiqué.
«Ce travail a été effectué sous l’autorité de coordinateurs et essentiellement dans des centres éloignés du siège où se situe la direction», assure l’ancienne présidente du CPAS, qui fut directrice du Samusocial jusqu’en 2013.

Le navire PS tangue
La presse flamande révélait mardi matin que des proches de l’ancien bourgmestre de Bruxelles Yvan Mayeur, de la présidente de la fédération bruxelloise du PS Laurette Onkelinx ou de Pascale Peraïta travaillent ou ont travaillé auprès du Samusocial, association venant en aide aux déshérités dans la capitale.

M. Mayeur et Mme Peraïta ont été contraints à la démission la semaine dernière après des révélations sur les émoluments qu’ils ont perçus du Samusocial.
 

Onkelinx se défend sur l'affaire du Samusocial:"Comment accepter que cette violence se tourne vers mes enfants ?

La cheffe de groupe PS à la Chambre et présidente de la fédération bruxelloise du PS a envoyé mercredi matin un communiqué pour prendre la défense de ses enfants dont la situation est exposée dans la presse à la suite des révélations de l'affaire du Samusocial.
Depuis quelques jours, des articles de presse mettent en avant les emplois d'enfants de mandataires socialistes bruxellois dans des structures publiques ou subsidiées par les pouvoirs publics. Mardi, il était ainsi question de la fille de Mme Onkelinx qui a été employée au Samusocial. Mercredi, c'était au tour de son fils qui a travaillé à "Visit Brussels".

Fait assez inhabituel, Mme Onkelinx a décidé d'envoyer un communiqué où elle demande de ne pas tomber "dans l'information de caniveau". "N'y a-t-il pas des limites à vouloir salir des jeunes tout simplement parce que leurs parents sont des mandataires publics? ", souligne-t-elle.
L'ex-vice-première ministre PS se dit consciente de l'"extrême violence" de la vie politique. "Je l'ai toujours su et je m'en suis accommodée tant que les coups m'étaient portés et que j'étais mue par la volonté de me battre sans relâche pour ceux qui me font confiance, pour des projets conformes à mes valeurs. Mais comment accepter que cette violence se tourne vers mes enfants ? Qu'on les jette en pâture ? " écrit-elle.
Mme Onkelinx évoque aussi le parcours de ses enfants qui ont grandi auprès d'une dirigeante accaparée par la politique et précise qu'ils n'ont pas bénéficié d'avantages. "Mes deux ainés n'ont pas eu une scolarité réussie et ont rencontré divers problèmes en partie parce qu'il ne leur était pas simple de grandir auprès d'une responsable politique qui n'a jamais compté son temps de travail. 
On leur reproche maintenant d'avoir travaillé il y a plusieurs années dans des structures en région bruxelloise. Pas avec des mandats juteux ou des salaires avantageux. Non. Dans des contrats de travail semblables à ceux de millions de Belges. A une époque d'ailleurs où je n'exerçais pas la charge de présider le PS bruxellois".

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