En Belgique en 2012, un temps plein gagnait en moyenne 3.258 € brut / mois.
La plupart des salariés gagnaient un salaire mensuel brut se situant entre 2.000 et 3.000 € brut / mois
Les Européens qui perdent le plus de temps dans les transports sont les Belges
Selon une étude Samsung, les Européens passent en moyenne 45 minutes par jour dans les transports et le Belge 52 minutes.
Le temps moyen des Belges s'explique en partie par l'usage majoritaire
de la voiture, moyen de transport favori de deux travailleurs sur trois. L'usage de la voiture s'explique pour grande partie par la fiscalité liée à la voiture, ainsi qu'également par le manque de fiabilité des transports en commun, dont les trains chroniquement bondés et en retard.
Aujourd'hui, c'est Paul Furlan qui a hérité du dossier dans le nouveau gouvernement wallon.
Lire aussi:Plus de 81 millions d'euros de taxes non récupérées par la Région wallonne 81,5 millions d’euros : c’est
l’estimation de l’avocat de la Région wallonne. Et encore : il ne s’agit
pas de toutes les taxes : juste la redevance TV et les taxes de
circulation.
Pourquoi cet argent ne retrouve-t-il pas le chemin des caisses
wallonnes ? Parce que la région a attribué le travail à certains
huissiers en fonction de critères... qui ne figuraient pas dans son
appel d’offre. Le Conseil d’État a donc suspendu le marché dans 8 cas
sur 12. Maître François Jongen défendait certains huissiers écartés par l’administration. "C'était la première fois que la Région wallonne procédait par un grand marché pour les services de huissiers, explique-t-il. Cela
faisait suite aux derniers transferts de compétences qui font que la
Région wallonne se trouvent à la tête d'un plus grand nombre de taxes à
récupérer. Mais la façon n'était pas la bonne."
La #hollandisation, est-ce se couvrir de ridicule par "gaucherie(s)" et(/donc) par incompétence marquée et ne pas arrêter de chuter dans les sondages ?
Au menu de cette visite au Kazakhstan : business, crises régionales et coopération universitaire. Les droits de l'Homme, encore une fois, attendront.
François Hollande reçu à Astana, capitale du Kazakhstan, par le président Noursoultan Nazaïrbaïev.
C'est la troisième fois, après François Mitterrand en 1993 et Nicolas Sarkozy en 2009, qu'un président français se rend au Kazakhstan. François Hollande est arrivé dans la capitale, Astana, vendredi 5 décembre, pour une visite de 48 heures avec pour objectif de renforcer les échanges économiques, politiques et universitaires avec cette puissance pétrolière et minière d'Asie centrale. Sous -25°c, dans cette capitale improbable au milieu des steppes, à l'architecture soviétique, le président français a été accueilli en grande pompe au palais présidentiel par son homologue kazakh Noursoultan Nazarbaïev.
On ne présente plus ce dernier : dictateur notoire de 73 ans, il règne sans partage sur son pays depuis l'indépendance en 1991. Le Kazakhstan pointe à la 161ème place sur 180 dans le classement mondial 2014 de la liberté de la presse établi par Reporters sans frontières. Et dans un rapport publié en juillet 2013, Amnesty International dénonce l'impunité dont jouissent les forces de sécurité dans ce pays et la pratique ordinaire de la torture dans les centres de détention.
Marcourt est -rappelons-le- "Ministre de l'Enseignement supérieur de la Fédération Wallonie-Bruxelles"
depuis juillet 2009 et
l'idée d'un examen d'entrée pour les futurs étudiants en médecine lui semble être quelque chose de "profondément injuste"....
ATTENTION, l'explication fournie est totalement surréaliste [au minimum] et pourrait [au maximum] provoquer un suicide collectif désespéré des détenteurs de QI à plus d'un chiffre :
"Entre
ceux qui ont la chance d'aller dans les écoles qui les forment et qui
les formatent pour aller à l'université et ceux qui dans des régions où
cette tradition n'est pas là, où le modèle socio-économique, voire
culturel n'est pas dans ce sens-là, on ne forme pas les jeunes pour
aller à l'université. Et ce que je me refuse à faire c'est simplement
ceci : c'est de dire qu'un jeune qui a la capacité intellectuelle, le
courage et l'abnégation de faire des études universitaires ne puissent
les faire simplement parce que l'enseignement secondaire est trop
inégalitaire."
et ce quelques
semaines après l'annonce d'un projet similaire emmené par le tandem UCL
et KUL à Leuven, nous apprenait l'Echo.
Ce dossier de #protonthérapie, ce n'est même pas du communautaire, mais un ersatz d'imbécilité sous-régionale profonde [au mieux]
La
Belgique se payait donc le luxe de construire deux centres de
protonthérapie sur son territoire alors que "c'est l'aspect financier qui
avait bloqué le dossier pendant une décennie".
Toujours selon le journal, "pour les recteurs de la KUL et de l'UCL, Rik Torfs et Bruno
Delvaux, l'alliance dévoilée en février dernier entre leurs universités
en vue de construire le premier centre de protonthérapie en Belgique est
la preuve de la complexité du dossier. Ce centre de technologie de
pointe dans le traitement du cancer chez les enfants représente un
investissement de 43 millions d'euros.
Le fait de voir la plus grande université francophone choisir la
Flandre et non la Wallonie pour implanter une technologie développée par
la société IBA a froissé les susceptibilités politiques dans le sud du
pays et en particulier celle du bourgmestre de Charleroi Paul Magnette."
Rik Torfs et Bruno Delvaux estimaient à l'époque que la décision du
gouvernement était une aberration. Ils parlaient de gaspillage et de
détournement d'argent public par le PS, en pleine campagne
électorale, à l'époque.
Le communiqué en concluerait que "L'UCL ne contesterait plus la viabilité d'un deuxième centre belge de protonthérapie et plaiderait désormais pour ne pas être exclue du projet wallon"
Alors qu'il semble clair que l'argent public a été à nouveau engagé sur des bases partisanes en doublon et dans un cadre vexatoire à destination de l'Université Catholique, dont l'excellence et l'indépendance énerveraient des milieux plus prosélytes et anticléricaux sectaires.
Plus fort encore: "L'ULB, l'ULg, Namur et Mons sont ouverts à la discussion, mais il est exclu que l'UCL intègre le partenariat technologique établi entre les quatre universités et la société IBA, et dont l'objectif est de créer un centre de recherche scientifique"
Pour rappel, un principe essentiel de FP7_Projects et maintenant de H2020funds est la création de réseaux de recherche .... aucune innovation: toujours les mêmes couillonnades; en guise de réseau: celui des copains.
1. Rester calme face à la volatilité.
2. Garder une bonne entreprise et penser sur le long terme.
3. Rester concentré sur les fondamentaux de l’entreprise.
4. Maintenir des coûts bas.
5. Conserver des incitants simples pour le personnel.
6. Rester à l’écart des problèmes.
7. Garder pour vous vos actions sous-évaluées.
8. Rester petit.
9. Veiller à sa réputation.
Monsieur Luperto, atterré par les accusations portées à son égard, "conteste s’être exhibé à l’égard de qui que ce soit, qu’il soit majeur ou mineur".
Il a précisé que sa démission "n’implique de sa part aucune reconnaissance d’une quelconque culpabilité pénale et estime pouvoir bénéficier, comme tout citoyen, de la présomption d’innocence, garantie démocratique de notre état de droit".
"Afin d'assurer ma défense dans la sérénité et compte tenu que les accusations dont je fais l'objet nuisent à l'autorité indispensable au bon fonctionnement des institutions, je crois utile d'une part de démissionner de ma fonction de président du parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles
et, d'autre part, de procéder à la désignation d'un échevin en qualité
de bourgmestre faisant fonction de la Commune de Sambreville"
Bien évidemment, JC Luperto conserve ses mandats rémunérateurs de député et de bourgmestre de Sambreville.
Rien n’oblige le député-bourgmestre à abandonner ses mandats.
En effet, à ce stade, il n’est ni inculpé des faits dont on le suspecte, ni a fortiori privé de liberté.
Cela ne pourrait s’envisager qu’après la levée de son immunité parlementaire par les deux assemblées législatives dont il est membre.
Il a démissionné de son poste de président du parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Cette démission fait de facto monter la première vice-présidente Valérie De Bue (MR) au perchoir de l'assemblée.
Lors de la mise sur pied en juillet dernier des gouvernements wallons, bruxellois et de la Fédération Wallonie-Bruxelles, un certain déséquilibre était déjà pointé du doigt par les médias en matière de répartition des compétences. Alors que certains ministres comme Maxime Prévot (CDH), Joëlle Milquet (CDH), Jean-Claude Marcourt (PS) ou encore Paul Furlan (PS) pour ne citer qu’eux étaient garnis de très (trop ?) nombreuses compétences, d’autres, essentiellement en Fédération Wallonie-Bruxelles et à Bruxelles étaient par contre montés dans un exécutif avec des compétences parfois moins importantes que certains échevinats des grandes villes.
Une armée mexicaine à la Fédération Wallonie-Bruxelles
Un peu moins de cinq mois après leur entrée en fonction, nous avons voulu analyser les premiers bilans de ces ministres ou secrétaires d’Etat (bruxellois) qui ont hérité de ces compétences nécessaires, certes, mais qui auraient pu très bien se retrouver dans l’escarcelle d’autres ministres. Si la majorité précédente (PS/CDH/Ecolo) avait œuvré dans le sens inverse, en multipliant, par exemple, les doubles casquettes ministérielles (Nollet, Antoine, Demotte et Marcourt se retrouvant dans deux exécutifs), c’est plutôt la marche arrière qui a été enclenchée en ce début de législature.
Si nombre de justifications ont été entendues pour défendre ces choix, aucune n’a véritablement convaincu. Le sentiment de nominations, à tout prix, pour certains joyeux serviteurs de la cause fait penser à une armée mexicaine. Une métaphore péjorative à dessein qui, au vu des actions concrètes réalisées ces derniers mois par ces ministres "pièces rapportées", semble se confirmer.
Aujourd’hui, le gouvernement bruxellois va approuver le budget de l’année 2015. Guy Vanhengel n’a pas hésité à refuser certaines demandes qualifiées de "farfelues" ...
Aujourd’hui,
le gouvernement bruxellois va approuver le budget de l’année 2015. Pour
rester dans les clous, Guy Vanhengel (Open Vld), le trésorier
bruxellois, n’a pas hésité à refuser certaines demandes qualifiées de
"farfelues".
On se souviendra de J. Galant et de son cafouillage de chiffres (pourtant corrects) à propos de la SNCB et des 100aines d'articles à ce sujet. Etrangement pour le cas qui suit, pas un souffle de moquerie, ni de contestation ou du Monde qui s'écroulerait:
Le 14 octobre dernier, lorsque le gouvernement bruxellois a présenté un
budget 2015 en équilibre, il était prévu des économies de quelque 300 millions.
La semaine dernière, la Belgique a envoyé le plan budgétaire de 2015 à la Commission européenne ... et SURPRISE !
Dans le document remis à la Commission Européenne, il n'était plus question que de 182 millions.
Selon le ministre du Budget, Guy Vanhengel:
"un mélange de fantasmes irrecevables qu'il faut dénoncer et de revendications rationnelles qu'il importe d'écouter"
Sur le plan pratique, il soulignait que la N-VA et un parti nationaliste
qui n'est ni xénophobe ni anti-européen avec lequel le PS parle et qu'il
veut associer au pouvoir.
"le nationalisme est en fait une enveloppe vide qu'on peut remplir de différentes façons""Il faut dès lors faire la différence entre un nationalisme xénophobe
dont le Vlaams Belang est un exemple et avec lequel nous refusons de
parler et un nationalisme qui n'est ni raciste ni anti-européen comme
celui de la N-VA avec lequel le PS veut parler""Nous voulons associer la N-VA à une démocratie de compromis car le
rêve de tout parti nationaliste est de rester à l'extérieur. Nous
voulons les obliger à exercer le pouvoir car il y a une grande
différence entre rédiger un programme de parti dans lequel on affirme
vouloir supprimer le Sénat et diminuer le nombre de membres dans les
cabinets pour faire des économies et faire un budget. On découvre alors
que ces idées ne rapportent pas tant que cela"
"Les Régions et le fédéral ne sont ni la sources de tous les problèmes ni la solution à tous les problèmes".
Le cas « Francken »
mérite une mise au point, après une semaine où les nouveaux démons
communautaires sont sortis de leur boîte, avec leur cortège
d’accusations, de soupçons et de diabolisations. Nous parlons ici pour nous, Le Soir
: les questions sur la légitimité du secrétaire
d’Etat à l’Asile et à l’Immigration ne relèvent pas d’une charge
obsessionnelle contre la N-VA, d’une volonté de délégitimer un
gouvernement qui prend place ou de placer une partie du nationalisme
flamand dans le camp de l’extrême droite. Si Le Soir conteste
la place de Théo Francken au gouvernement, en particulier au poste qu’il
occupe, et continuera à être extrêmement attentif à tout propos du
passé et à tout acte désormais posé, ce n’est pas en raison d’un clivage
nord-sud, mais au nom des valeurs qui sont celles de notre quotidien,
et qui surtout fondent notre démocratie, au niveau fédéral ainsi que
dans chacune des entités fédérées. Le rejet du racisme, la défense de la
dignité humaine, l’interdiction de stigmatiser les groupes d’êtres
humains selon leurs origines, sont des éléments sine qua non
des démocraties. Si des partis utilisent ces arguments par tactique
politique, c’est leur responsabilité et nous serons là, comme
journalistes, pour dénoncer ces petits jeux malsains. Mais il ne faut
pas tout mélanger. Oui, la N-VA est un parti dont la présence
au gouvernement est légitime. La gestion par un parti séparatiste d’un
niveau de pouvoir qu’il veut faire disparaître, ne cesse certes de nous
étonner et suscite notre extrême vigilance, mais cela n’exclut en rien
l’accès au pouvoir à Bart De Wever, grand vainqueur de ces élections et
des négociations tant en Flandre qu’au fédéral. Oui, le gouvernement Michel a mis sur papier
une série de réformes socioéconomiques légitimes (pensions, déficit
public, marché du travail, poids de l’Etat, compétitivité). Le Soir s’est
d’ailleurs souvent prononcé sur la nécessité et l’urgence d’oser un
certain nombre de mesures structurelles qui permettent au modèle belge
(la sécurité sociale notamment) de perdurer. A charge pour le
gouvernement en place de prouver que ces réformes modernisent la
société, sans la fracturer. Nous attendrons les projets précis et leur
mise en œuvre pour les jauger sur pièces, un à un. Mais, oui aussi, Le Soir tire la
sonnette d’alarme sur le danger que postule la présence d’un secrétaire
d’Etat en charge de l’Asile et de l’Immigration, qui a déclaré dans un
passé très récent et via un support public, qu’il ne voyait pas « la
valeur ajoutée de la diaspora congolaise, algérienne et marocaine ». Ces propos dans la bouche d’un PS, d’un MR
ou d’un CD&V, au sein d’un gouvernement de gauche, de centre-droit
ou tripartite, wallon, bruxellois ou fédéral, auraient suscité la même
indignation et les mêmes condamnations de notre part. Il se fait que M.
Francken est N-VA, ce qui n’est une raison ni de l’épargner ni de
l’accabler plus particulièrement. Si ce n’est que l’ambiguïté des
relations de membres de ce parti avec certains milieux laisse une place
au questionnement plus réelle que pour d’autres formations politiques:
il n’est ainsi pas coutume d’assister à des réunions de M. Le Pen, ou à
des anniversaires d’ex-collaborateurs, apparemment pas tout à fait
repentis. On peut comprendre l’histoire des autres (la
Flandre ici en l’occurrence), mais ces autres doivent aussi réaliser
que les interrogations francophones ne relèvent pas que d’une foutaise
ou d’une préoccupation surannée, mais d’une sensibilité qui, elle aussi,
à ses ramifications. D’autant que les propos tenus par M. Francken ne
posent pas question qu’au sud du pays. La ligne de «fracture» sur ce
sujet n’est pas communautaire, mais elle traverse les frontières
linguistiques et idéologiques: on ne s’interroge pas ici «Flamands
contre francophones», ou «opposition contre gouvernement». Les éléments sur table aujourd’hui ne
donneraient sans doute pas lieu en justice à une condamnation de M.
Francken. Reste qu’aujourd’hui un grand spectre d’opinions estime que
ces propos sont teintés de racisme et nuisent à la vie en communauté car
des groupes d’individus sont soupçonnés. Un malaise de fond est créé
entre d’une part le ministre en cause et le gouvernement qui l’abrite,
et d’autre part des groupes d’individus. Voilà qui fragilise la position
du ministre dans un domaine où il y aura place au doute désormais entre
les décisions officielles et les intentions qui les inspirent. C’est
d’autant plus dommageable que l’heure est à une politique d’asile qui
combine rigueur et droits de l’homme: celui qui doit réaliser ce
difficile équilibre ne peut, pour réussir, qu’être au-dessus de tout
soupçon. Ceux qui veulent faire de Théo Francken une
victime de francophones injustes, se trompent et manipulent une vérité
qui traverse le territoire belge. Si le secrétaire d’Etat doit désormais
être imparable dans tous les actes et paroles, passés et à venir, c’est
parce que tous les partis démocratiques, dans et hors du gouvernement,
nord et sud confondus, à part la N-VA et son président, le lui
demandent. Le Soir avec eux.
Albert II nous avait prévenu: Les années 30 sont revenues, avec les tentatives d'intimidation dans les sphères politiques.
Les nuisibles pour le pays et la démocratie ne sont pas forcément ceux que l'on nous pointe.
Gouvernement Tindemans IV (PSC-CVP-PSB-BSP-VU-FDF) 3 juin 1977 – 11 octobre 1978
Gouvernement Vanden Boeynants II (PSC-CVP-PSB-BSP-VU-FDF) 20 octobre 1978 – 18 décembre 1978
Bob Maes était sénateur VU de 1971 à 1985
"Bob Maes a été membre d'une majorité avec le PS, le PSC, le FDF.
Cela ne les gênait absolument pas."
Quel ramdam, quels autistes, quels malhonnêtes intellectuellement, quels populistes ...
Ce qui caractérise certains n'est pas seulement leur QI à 1 chiffre, mais cette mémoire limitée à 3 jours ...
#DorySyndrom
Le réquisitoire a été finalisé et approuvé; l'audience de la chambre du conseil a donc été fixée pour demain, mardi 14 octobre.
Le parquet de Mons souhaite renvoyer Didier Donfut, ainsi que Robert Urbain (ministre
d'Etat) devant le tribunal
correctionnel. Un de leurs associés est également concerné.
Ils sont suspectés notamment de faux en écriture et d'abus de confiance,
écrivait jeudi 25 septembre, le journal économique, L'Echo.
Il est
reproché aux trois hommes d'avoir faussement conclu un contrat de
prestation de services entre l'Intercommunale gazière du Hainaut
et la société de consultance IDEE de Didier Donfut dans le but
frauduleux de contourner la loi, ce qui a notamment permis à
l'ex-ministre wallon de favoriser ses intérêts et de toucher des
rémunérations disproportionnées au regard des prestations effectuées.
La révélation de ces éléments avait mené à la démission de Didier Donfut du gouvernement wallon en 2009.
L'intercommunale IGH a depuis été reprise par l'opérateur des
réseaux gaz et électricité Ores, dont Didier Donfut a été élu à la présidence en 2014.
Les intérêts de IGH ayant potentiellement été lésés,
Ores étudie à présent la possibilité de se constituer partie civile
contre le socialiste.
Pour ma part, outre les arguments développés, je suis sidéré de la légèreté et de la responsabilité lourdement coupable de libe de mettre au pilori et exposer une personne à la vindicte populeuse avec autant d'aplomb diffamatoire.
La UNE diffamatoire et controversée de Libé :
Dans la même lignée diffamatrice que ces étroits du bulbes
La propagande a
aussi ses modes : favorisée par les réseaux sociaux, la dernière
consiste à symboliser des causes politiques (parfois sinistres) avec ses
doigts.
Les signes formés avec les doigts, ce n’est certes pas nouveau. Le V
de la victoire, le pouce de la bonne humeur, la boucle pouce-index du
« tout va bien », sans parler du majeur bandé, dit « doigt
d’honneur »...
Dans son projet d’accord, le prochain gouvernement
s’apprête à réaliser un inventaire des aides, primes et subsides
fédéraux consacrés à la recherche à tous les niveaux de pouvoirs. Dans
sa politique culturelle, il maintient globalement son investissement
dans les institutions fédérales. Dont la Monnaie et l'Orchestre
National.Le gouvernement entend pérenniser la
dispense de précompte professionnel en faveur des chercheurs “et
élargira la déductibilité fiscale pour les recettes de brevets aux
recettes des licences de logiciels”. La nouvelle structure des établissements scientifiques fédéraux (ESF) sera “modernisée et harmonisée”.
Cette harmonisation sera basée sur une autonomisation des différents
établissements. Il est également question de rationaliser des
institutions par le recours à des «services partagés» pour
réaliser les économies d’échelle qualifiées d'indispensables. Ces
services pourraient concerner l’ICT, la logistique, le gardiennage, les
traductions etc. Et, rationalisation toujours, “les établissements établiront des synergies là où des coopérations nationales et/ou internationales s’imposent.” Cette rationalisation implique encore la suppression du SPP Politique scientifique qui sera intégré comme direction générale.
La chambre du conseil de Namur a rendu son ordonnance dans le dossier dit Sotegec. Elle renvoie onze inculpés devant le tribunal correctionnel, dont l’ancien bourgmestre de Namur Bernard Anselme qui devra répondre devant le juge d’une douzaine de faits liés entre autres aux dossiers du hall Octave Henry et du commissariat d’Hastedon, pour prise d’intérêts et infraction à la loi sur les marchés publics.
Egalement présents sur le banc des prévenus [parvenus ?] sa compagne Rita Maillard, l’ancien mari de celle-ci : Pierre Louis. On retrouve aussi l’ancien échevin des sports Frédéric Laloux, Thierry Servais ancien chef du service patrimoine de la Ville de Namur, le chef de cabinet de l’époque de Bernard Anselme, Jean-François Prior. 4 autres fonctionnaires devront être présentes, ainsi que la SPRL Technics Engineering Namur (anciennement SPRL Sotegec).
Sous réserve d’un appel du parquet général, on notera que les autres inculpés dans le dossier ne sont plus inquiétés : l’ancien échevin du patrimoine (pendant la législature concernée, de
2000 à 2006) Jean-Louis Close, ansi que le secrétaire communal
Jean-Marie Van Bol, et pour finir l’ancien chef de corps de la police namuroise,
Guy Jomaux.
La chambre des mises en accusation de Liège a décidé de renvoyer Jean-Claude Van Cauwenberghe devant la cour d'appel de Liège pour y répondre d'une
prévention de prise d'intérêt. En raison de son statut d'ex-ministre
président, il est renvoyé devant l'assemblée générale de la cour d'appel
de Liège. La Commission des poursuites du Parlement wallon n'avait
autorisé en avril dernier des poursuites que pour une seule des
préventions dénoncées par le parquet général de Liège. La prévention qui
subsistait contre Jean-Claude Van Cauwenberghe était celle relative au
dossier "Arcade", qui porte sur l'achat de mobilier de la société du
même nom par le cabinet de Jean-Claude Van Cauwenberghe lorsqu'il était
ministre-président.
"Tout le monde était conscient de ce qui était en jeu : la
survie de la coalition ou des carrières personnelles qui allaient
soudain prendre une autre direction""Dans
cette petite salle de réunion, Didier Reynders s'est laissé emporter
par ses émotions, une chose complètement inattendue de sa part."
Selon le co-formateur, chacun autour de la table réalise que c'est "une coalition historique" qui est en train de se mettre en place:
"Il n'y a pas d'alternative, mis à part une impraticable tripartite. Mais c'est sûr que le MR a pris de terribles risques."
"Mentalement, j'y étais totalement préparé. J'ai même suivi des leçons de français de huit à onze heures du matin. Je me suis beaucoup amélioré. Peut-être que ça me servira encore un jour"
Toutefois, l'homme fort du CD&V précise qu'il a toujours été clair qu'il soutiendrait Marianne Thyssen:
"Toute l'Europe veut Thyssen comme commissaire, et nous aurions dû envoyer Reynders?"
"Nous pourrons donc compter pour cette rentrée scolaire sur
l'ouverture des 800 nouvelles places à Bruxelles dans le fondamental, au
travers de pavillons modulaires mobiles qui sont en cours
d'installation et qui seront fonctionnels pour le 31 août 2014,
auxquelles s'ajoutent 450 nouvelles places dans le réseau
Wallonie-Bruxelles
"D'ici la
prochaine rentrée scolaire, 2400 nouvelles places seront créées dans le
fondamental à Bruxelles et 1700 en Wallonie afin de continuer à répondre
au boom démographique. La troisième phase qui concerne donc
essentiellement la rénovation de bâtiments permettra quant à elle de
créer 4407 places dans le fondamental à Bruxelles et 2722 en Wallonie."
"Les démarches en ce sens seront également poursuivies pour répondre au mieux au boom démographique"
Selon ses calculs, entre 2014 et 2017, pour l'enseignement fondamental, c'est un total de 7607 places qui seront créées dans les écoles bruxelloises et 4897 en Wallonie, sans compter celles prévues par le dispositif précédent.
Onkelinx à l’assaut du "gouvernement kaki"Politique belge
"Si le MR avait dit : "il n’est question que les francophones soient
dans un gouvernement dans lequel ils seront totalement méprisés et
minoritaires", il y aurait eu une autre configuration. Ils ont préféré y
aller à n’importe quel prix, même en trahissant leur parole et la cause
des francophones. Je ne fais que le constater…"
Image
tirée d'une video de propagande diffusée le 5 juillet 2014
par
al-Furqan Media, montrant le dirigeant du groupe Etat islamiste,
Abou
Bakr al-Baghdadidans une mosquée de Mossoul,
après la proclamation d'un
"califat"
entre la Syrie et l'Irak - Al-Furqan Media
Resté longtemps dans l’ombre, Ibrahim
al-Badri al-Samarraï de son vrai nom, est désormais le djihadiste le
plus dangereux et le plus puissant au monde...
Docteur Ibrahim, Awwad Ibrahim, Abou Duaa, Al-Shabah (le fantôme),
Abou Bakr al-Baghdadi, et enfin dernièrement Calife Ibrahim. Autant de
noms pour désigner un seul et même homme: Ibrahim al-Badri al-Samarraï,
le puissant leader de l'Etat islamique.
Auparavant, seulement deux photos -une en couleur du FBI américain,
l’autre en noir et blanc du ministère irakien de l’Intérieur-
permettraient d’identifier celui dont la tête est mise à prix 10
millions de dollars par les Etats-Unis depuis 2011. Jusqu’alors, peu
d’informations sur lui avaient filtré. Né en 1971 à Samarra, au nord de
la capitale irakienne, Ibrahim al-Badri al-Samarraï aurait étudié à
l'université islamique de Bagdad dans les années 1990.
Selon une biographie diffusée par ses partisans, il serait un descendant du prophète Mahomet, un lignage prestigieux indispensable pour prétendre au titre de calife. Il aurait obtenu un doctorat d’études islamiques -d’où son titre de «docteur».
Il passe au djihad en 2003, après l'invasion américaine, et prend son
premier nom de guerre, Abou Duaa, au sein d’un petit groupe armé
-Jaiche al-Sunna wal Jamaa-, avant de rejoindre les rangs d’Al-Qaida en Mésopotamie,
sous la houlette du Jordanien Abou Moussab al-Zarkaoui. Il est arrêté
par les Américains à Falloujah en 2004, et passe cinq ans au camp de
détention de Bucca, période au cours de laquelle il se radicalise un peu
plus. Relâché en 2009 dans le cadre de la libération de milliers de détenus avant le retrait américain, il multiplie les attentats meurtriers et exécutions publiques sanglantes au nom de la charia.
Le nouvel émir
Entre temps, Al-Zarkaoui a été tué dans un raid américain en 2006, et
Abou Omar al-Baghdadi a pris sa succession à la tête de l’État
islamique d’Irak, le nouveau nom d’Al-Qaida en Mésopotamie. Il est tué en avril 2010 près de Tikrit.
Un mois plus tard, Abou Duaa est choisi pour lui succéder. Le
nouvel «émir» prend un nouveau nom de guerre, Abou Bakr al-Baghdadi,
référence au premier calife de l’islam, Abou Bakr al-Siddik, nom auquel
il a accolé celui de sa ville d’origine, Bagdad.
Mais son organisation est très affaiblie.
Al-Baghdadi opère alors un «retrait tactique», qui permet à
l’organisation de se renforcer et d’accumuler un trésor de guerre grâce
au rançonnage, au pillage des banques, mais aussi des biens des
chrétiens et des chiites. Et en 2011, il refuse de faire allégeance à
Al-Qaida et l'Égyptien Ayman al-Zawahiri, qui a pris la relève d’Oussama
Ben Laden.
Offensive irakienne
Les «printemps arabes» rebattent les cartes dans la région. Vers la
mi-2011, Al-Baghdadi dépêche des hommes en Syrie pour combattre le
régime de Bachar al-Assad, mais aussi les opposants laïcs et le front
al-Nosra, branche locale d’EIIL qui a prêté allégeance à Al-Qaida. Son
groupe ajoute alors le «Levant» à son nom en 2013, et devient l’État
islamique en Irak et au Levant (dont l’acronyme est EIIL en français, Isis en anglais et «Daech» en arabe).
En marge de cette action en Syrie, Al-Baghdadi lance une vaste offensive en Irak.
Parti de Fallouja en début d’année, il a fédéré nombre de combattants
sunnites, et prend début juin le contrôle de Mossoul, puis de la
province de Ninive et une partie de celle de Salaheddine, de larges
portions de la région d'Al-Anbar et de la frontière avec la Syrie.
Des conquêtes qui lui permettent de mettre la main sur un trésor de
guerre d’un demi-milliard de dollars, une quinzaine de puits de pétrole
et qui font de l’État islamique «le groupe terroriste le plus puissant au monde, en terme d’armes et de financement».
Et d’Abou Bakr al-Baghdadi, ou plutôt maintenant du Calife Ibrahim, le
djihadiste le plus dangereux et le plus puissant au monde.
Lire aussi: GB: non-lieu pour l'étudiante qui cachait 20.000€ pour le jihad dans ses sous-vêtements Nawal Msaad, l'étudiante britannique de 26 ans arrêtée en janvier à
Heathrow avec 20.000 euros destinés aux jihadistes syriens dissimulés
dans ses sous-vêtements, selon l'accusation, a bénéficié d'un non-lieu
mercredi devant un tribunal londonien. Nawal Msaad avait été arrêtée le 16 janvier au moment d'embarquer
sur un vol pour Istanbul. Lors d'un contrôle, un préservatif rempli de
billets enroulés de 500, 200 et 100 euros avait été retrouvé. Lors de l'ouverture du procès début juillet, le procureur Mark
Dennis avait déclaré que cet argent, d'un montant total de 20.000 euros,
était "destiné à financer la cause jihadiste" en Syrie. Les onze membres du jury de l'Old Bailey ont cependant condamné
une amie de l'accusée, Amal Elwahabi, épouse d'un jihadiste parti
combattre en Syrie l'été dernier. Elle a été reconnue coupable d'avoir
recruté Amal Elwahabi en tant que "messager de confiance" pour acheminer
des fonds au Moyen-Orient. Amal Elwahabi, âgée de 27 ans, est la première Britannique à être
condamnée pour financement de la cause djihadiste en Syrie. Elle risque
14 ans de prison.
Saudi Arabia has handed over a check for $100m to UN
Secretary-General Ban Ki-moon to help finance the UN's centre to combat
global terrorism. The UN chief welcomed the gift at a ceremony in his office and said
the recent upsurge in terrorism in a number of countries and regions -
most dramatically, the Islamic State group's takeover of a large swath
of Syria and Iraq - "underscores the challenge before us." Saudi Arabia's Ambassador to the United States, Adel al-Jubeir, who
presented the check with the Saudi UN ambassador, stressed that
"terrorism is a scourge and an evil that affects all of us."
Les événements qui actuellement se déroulent au
nord de l'Irak, où les combattants de l'«Etat islamique» se livrent au
massacre des Yazidis après avoir chassé la communauté chrétienne, sont
tels qu'il ne suffit plus désormais de souligner leur gravité: il faut
appeler par son nom, sans crainte de l'hyperbole, une pratique qui sans
conteste relève du génocide, mis en oeuvre par des islamistes dont
l'intégrisme est l'autre nom du fascisme. Un islamo-fascisme sévit ces jours-ci devant les frontières du
Kurdistan, et l'on attend de la part des musulmans, au Luxembourg et
ailleurs, non seulement le rappel de tout ce qui distingue l'islam en
son caractère le plus honorable de cet islamisme d'égorgeurs, mais aussi
et surtout une condamnation ferme de ce qui en Irak est commis en son
nom. Tel est d'ailleurs le sens d'un appel, lundi, du recteur de la
Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, qui face à ce massacre appelle
les musulmans du monde à «sortir de leur réserve».
Un islam qui considère que la lecture du Coran se pratique à la lumière
de la raison et non dans les ténèbres d'une aveugle passion.
Génocide? Oui, dans la mesure où l'offensive de l'Etat islamique
procède d'un projet d'extermination, un projet systématique par
définition. S'étonne-t-on de l'extrême cruauté de ses tueurs, qui
décapitent femmes et enfants? Qui n'hésiteraient pas, semble-t-il, à
crucifier certaines de leurs victimes? Ne nous étonnons pas trop:
«infidèles» et «mécréants», chrétiens et Yazidis ne sont pas aux yeux de
ces islamistes des humains mais des bêtes, des «Untermenschen», une
vermine que dès lors ils écrasent sans états d'âme. Cet islamisme-là est
un racisme. Au nom de quoi ces «Untermenschen» sont-ils condamnés? Au nom d'un
islam dévoyé par son extrême radicalité, par son intégrisme, qui poussé à
cet extrême-là est bien un fascisme. Qu'est-ce que l'islam intégriste,
raciste et fasciste? C'est un islam qui affirme qu'il n'y a qu'une seule langue, l'arabe.
Qui postule qu'il n'y a qu'une seule communauté humaine, l'«ouma», la
communauté musulmane. Qui répète qu'il n'y a qu'un seul livre, le Coran.
Qui enfin affirme qu'il n'y a qu'une seule loi, la «charia», et que
cette charia étant infaillible elle est intangible. D'où l'appel aux tenants d'un islam dans sa vérité la plus
respectable. Qui, si ce n'est des musulmans, pourra dire aux intégristes
en quoi leur foi est folie? Qui, si ce n'est les pratiquants d'un islam
éclairé, au Luxembourg et ailleurs, dira à ces gens-là qu'il n'est plus
nécessaire, pour être un «bon» musulman en 2014, de s'adonner à des
pratiques vieilles de 1.400 ans, et que la charia aujourd'hui ne saurait
exiger que l'on lapide une femme adultère, que l'on punisse de mort
l'apostasie, que l'on tranche la main du voleur? Qui, si ce n'est des
musulmans, diront à d'autres musulmans, en Irak mais aussi en
Afghanistan ou dans la bande de Gaza, que le kamikaze n'ira pas au
paradis, et que si vraiment il y allait il ne serait pas accueilli par
des nuées de vierges parfumées? On a beaucoup (beaucoup trop) parlé d'un clash civilisationnel entre
Occident et sphères musulmanes. Une tout autre césure est sans doute à
l'oeuvre, ou devrait l'être, au sein du monde islamique lui-même. Entre
un islam qui se croit habilité à la barbarie par des textes datant de
l'Hégire, et un islam moderne, éclairé, laïque et fraternel, un islam
inspiré d'Averroès et non de Ben Laden, un islam qui considère que la
lecture du Coran se pratique à la lumière de la raison et non dans les
ténèbres d'une aveugle passion.