dimanche 16 décembre 2012

The Value of Bosses

Replacing a bad boss with a good one increases productivity of each subordinate's output by more than 10 percent.

In The Value of Bosses, authors Edward Lazear, Kathryn Shaw, and Christopher Stanton use data from a large service oriented company to examine the effects of bosses on their workers' productivity. They estimate the daily productivity for 23,878 workers matched to 1,940 bosses over five years and find that bosses vary greatly in productivity, with the difference between the best bosses and the worst bosses being significant.

One extreme view of the labor market holds that bosses are irrelevant and that worker productivity is unaffected by the choice of supervisor. Anyone can do the supervisor's job because the supervisor has little direct impact on worker output. At the other extreme, is the view that workers are indistinguishable and that the output of the firm depends only on how well bosses use labor. Whichever is the case, we know that a significant fraction of resources is devoted to supervision: among manufacturing workers, front-line supervisors comprised 10 percent of the non-managerial workforce in 2010; among retail trade workers, front line supervisors comprised 12 percent of the non-managerial workforce.


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La note reçue par les travailleurs grecs est dramatique...
La Belgique se classe en 4ème position des pays européens en ce qui concerne la qualité du travail. Le top 3 n'étonnera personne, avec en tête le Danemark suivi par les Pays-Bas et la Suède. Comme d'habitude, les pays scandinaves occupent les premières places, accompagnés cette fois-ci par nos voisins néerlandais.
Petite surprise pour la Belgique qui se positionne en 4ème position, juste devant le Luxembourg (5ème). Ce rapport indique même que la Belgique s'est distinguée en améliorant la qualité du travail, entre 2008 et 2010, en temps de crise. Notre pays possède également les salaires bruts les plus élevés, juste derrière les Pays-Bas.
Ce classement a été conçu par l'European Trade Union Institute, l'organe de recherche du syndicat européen EEV, en se basant sur des chiffres de l'année 2010. Cet indice de qualité du travail prend en compte plusieurs variables, dont le salaire moyen, le nombre d'heures de travail, l'équilibre entre le travail et la vie privée, la sécurité de l'emploi ou encore les perspectives de carrière.
Chaque pays possède une note concernant donc la qualité de travail. La Belgique a reçu une note de 74 (sur 100), seulement 2 points de moins que la Suède (76), 5 de moins que les Pays-Bas (79) et 10 de moins que le Danemark (84). Ces pays se trouvent nettement au dessus de la moyenne européenne (52 points).
L'indice confirme la situation tragique des travailleurs grecs, toujours embourbés dans une grave crise économique. Ils ne récoltent qu'un seul et unique point ! D'autres pays qui souffrent de la crise économique se retrouvent en queue de peloton: l'Italie est 23ème (41 points) et l'Espagne 25ème (38 points), sur 27.


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